Le comédien Georges Wilson est mort
CULTURE•Il s'est éteint à l'âge de 88 ans...O.R. avec Oihana Gabriel
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.
Pour Micheline Rozan, co-directrice du Théâtre des bouffes du nord pour le web, contacté par 20minutes.fr, «il représentait le théâtre du début à la fin de sa vie. Je crois qu’à part sa femme, le théâtre a été sa seule passion.»
Né le 16 octobre 1921 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Georges Wilson a dirigé pendant dix ans le Théâtre national populaire (TNP) de Paris (1963-1972).
Nombreux rôles au cinéma et au théâtre
Engagé par Jean Vilar, auquel il était resté profondément fidèle, il avait auparavant interprété les grands rôles de la plupart des pièces montées par le TNP (L'Ecole des femmes, Mary Tudor, Antigone, Turcaret, Le Cid), campant notamment un inoubliable Ubu. «Pour moi, Il restera pour la mémoire collective un très bon Ubu, une pièce qu’il avait monté à Avignon», confie Micheline Rozan, «mais c’est son dernier rôle dont on se souvient le mieux, dans Simplement compliqué. Ce monologue de Thomas Bernard collait parfaitement au personnage. Il a trouvé une connivence avec ce texte, qui n’était pas mince à apprendre».
Georges Wilson a également été directeur artistique du théâtre de l'Oeuvre de 1978 à 1995, reprenant En attendant Godot avec Rufus et Michel Bouquet. Il a également interprété de nombreux rôles au cinéma (Le Dialogue des carmélites, Une aussi longue absence, ou le capitaine Haddock de Tintin et la toison d'or) et à la télévision (Dolmen, série de TF1).
«Il restera surtout comme un merveilleux comédien. Il était bougon et exigeant mais jamais méprisant avec les gens, ce qui est parfois le cas avec les grands acteurs», conclut Micheline Rozan.