«Assassin's Creed Origins»: Vous avez joué avec «20 Minutes», votre verdict !
A VOS MANETTES•« 20 Minutes » a invité un de ses lecteurs à tester le nouvel «Assassin's Creed Origins» avant tout le monde...Jean-François Morisse
L'essentiel
- Mathieu M. a testé en avant-première pour « 20 Minutes » le nouvel Assassin’s Creed Origins, dans les locaux de notre partenaire Jeux Vidéo Magazine.
- Après quelques heures dans la peau de Bayek, il nous livre ses impressions sur cette aventure à l’ombre des pyramides.
Que vaut le nouvel Assassin’s Creed Origins ? 20 Minutes a invité Mathieu M., fan de la saga Assassin’s Creed au point d’en avoir le logo tatoué sur la jambe, à partir explorer le désert égyptien en bordure du Nil durant quelques heures avant tout le monde. C’était ce mardi, trois jours avant la sortie du jeu.
Après Assassin’s Creed Syndicate qui se déroulait à Londres durant la Révolution Industrielle, le thème de ce nouvel épisode est longtemps resté mystérieux. « Pour moi c’était soit l’Egypte soit la Seconde Guerre mondiale en termes de période », pressentait Mathieu. Bonne pioche : direction la vallée du Nil !
Un expert aux commandes
Très vite Mathieu trouve ses marques avec la version Xbox One fournie en avant-première par Ubisoft (le jeu est aussi disponible sur PS4 et PC). Il faut dire qu’il connaît parfaitement la saga. « Après 10 ans d’Assassin’s Creed, je crois avoir les bons réflexes, confie-t-il, même si je suis loin derrière certains joueurs dont on peut voir les performances sur internet. »
L’aventure commence à peine et déjà les combats se multiplient. « Aïe ! Je me suis mis dans la mouise, s’amuse Mathieu : c’est rempli de gardes ici ! » Quelques secondes lui suffisent pourtant pour neutraliser les soldats égyptiens qui l’assaillent. Le système de combat a été totalement revu afin d’être à la fois plus fluide et plus nerveux.
Bayek, le héros de cette histoire explore les bâtiments, les grottes et les temples au milieu des peintures et des hiéroglyphes. Exploration et combats se succèdent dans des décors sublimes.
C’est une habitude mais Assassin’s Creed Origins joue la carte de l’immersion historique et cette virée entre Alexandrie, Memphis, Gizeh, Siwa et Cyrène vaut le coup d’œil. « Les décors, sont dingues, le scénario est une fois de plus mortel, commente-t-il entre deux combats et un saut de la Foi. On sent que ça va envoyer du lourd ! »
Sous le charme, Mathieu explore le moindre recoin de la carte à la recherche de secrets et d’objets cachés. « Il y a toujours mille et une choses à trouver dans les Assassin’s Creed, explique-t-il, je m’applique à trouver tous les secrets par respect pour les créateurs du jeu qui ont passé du temps à les intégrer ». Fair-play, le garçon. Et respectueux du travail de Jean Guesdon, déjà responsable du « meilleur épisode de la série » selon notre lecteur : Assassin’s Creed IV Black Flag.
Une expérience de jeu enrichie
Assassin’s Creed Origins développe d’ailleurs considérablement l’aspect jeu de rôle avec des mécaniques qui rappellent celles de Far Cry (du même éditeur). On acquiert de nouvelles aptitudes au fur et à mesure de l’aventure alors qu’on peut optimiser son équipement (armes et armure) en trouvant de nouveau objets ou bien en les fabriquant soi-même. Difficile de ne pas se prendre au jeu ! « J’avais déjà envie d’y jouer, et là ça me donne encore plus envie de continuer », conclut Mathieu en rêvant de reprendre le jeu vendredi, là où il l’a laissé…
Un test réalisé avec le concours de notre partenaire Jeux Vidéo Magazine.