Dieudonné réclame 3 millions d'euros pour les annulations de son spectacle
JUSTICE•Les recours formés l'humoriste visent les communes de Nantes, Tours et Orléans mais aussi Manuel Valls, ancien ministre de l'Intérieur devenu Premier ministre...20 Minutes avec agences
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
>> A lire ici : Après Nantes, Tours : l’Etat remporte encore une manche contre Dieudonné
Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Les recours formés par l’avocat de Dieudonné devant la juridiction orléanaise visent à la fois les communes de Nantes, Tours et Orléans et l’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui Premier ministre. L’audience est prévue le 4 février devant le tribunal administratif d’Orléans.
Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
« Les arrêtés des maires de ces trois villes étaient illégaux, dans la mesure où ils constituaient une violation du principe de la liberté d’expression », soutient Me Jacques Verdier, l’un des avocats de l’humoriste. Les trois annulations de spectacle avaient été confirmées en référé devant le Conseil d’État, mais l’affaire n’avait pas encore été jugée sur le fond, selon Me Verdier.
L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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Dieudonné vient de saisir les tribunaux administratifs de Nantes et d’Orléans afin de contester les décisions d’annulation de son spectacle polémique Le Mur, qu’il devait donner, en janvier 2014, dans ces deux villes ainsi qu’à Tours.
L’humoriste controversé réclame trois millions d’euros de dédommagement à chacune des trois villes, pour les « préjudices liés à l’annulation des spectacles », mais aussi pour « préjudice de notoriété et préjudice d’image ».
« Une violation du principe de la liberté d’expression »
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L’avocat s’appuie sur le fait que début 2015 le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, puis le Conseil d’État, avait autorisé Dieudonné à donner un spectacle à Cournon-d’Auvergne (Puy-de-Dôme). Mais ce spectacle autorisé par la justice était La Bête immonde, et non Le Mur, interdit dans plusieurs villes en 2014.
Des propos « antisémites et infamants »
Pour rappel, en janvier de cette même année, Le Mur avait été interdit par des arrêtés pris par Jean Germain (PS), alors maire de Tours, puis par le maire UMP d’Orléans Serge Grouard.
A Nantes, c’est le préfet qui s’était substitué au maire pour interdire le spectacle, juste après la diffusion par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls d’une circulaire ouvrant la voie à l’interdiction des spectacles de Dieudonné au nom du « respect de l’ordre public et de la dignité humaine ». Il dénonçait les propos « antisémites et infamants » et « les atteintes virulentes et choquantes à la mémoire des victimes de la Shoah ».
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