MEDIAS«Who's Who»: Omar Sy, Teddy Riner et Wendy Bouchard rajeunissent le cru 2016

«Who's Who»: Omar Sy, Teddy Riner et Wendy Bouchard rajeunissent le cru 2016

MEDIASLa célèbre bible rouge recense désormais 22.000 personnalités au travers de notices biographiques dûment vérifiées ...
Omar Sy, le 20 juillet 2015, à Beverly Hills.
Omar Sy, le 20 juillet 2015, à Beverly Hills. - VALERIE MACON / AFP
20 Minutes avec agences

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Les acteurs Omar Sy ou Pierre Niney, mais aussi le champion de judo Teddy Riner, le coiffeur de Lady Gaga, Charlie Le Mindu, ou encore le Monsieur communication de François Hollande, Gaspard Gantzer, font leur entrée au Who’s Who. Une édition 2016 qui prend, de fait, un sérieux coup de jeune avec également l’arrivée de patrons du e-commerce.

Parmi eux, les stars de l’économie numérique comme Benjamin Cardoso (28 ans), fondateur de la compagnie française de véhicules de tourisme avec chauffeurs (VTC) Le Cab ou Vincent Ricordeau (46 ans), cofondateur de KissKissBankBank (financement participatif).

2 415 pages pesant pas moins de 4 kg

Who’s Who.

Les acteurs Omar Sy ou Pierre Niney, mais aussi le champion de judo Teddy Riner, le coiffeur de Lady Gaga, Charlie Le Mindu, ou encore le Monsieur communication de François Hollande, Gaspard Gantzer, font leur entrée au Who’s Who. Une édition 2016 qui prend, de fait, un sérieux coup de jeune avec également l’arrivée de patrons du e-commerce.

Parmi eux, les stars de l’économie numérique comme Benjamin Cardoso (28 ans), fondateur de la compagnie française de véhicules de tourisme avec chauffeurs (VTC) Le Cab ou Vincent Ricordeau (46 ans), cofondateur de KissKissBankBank (financement participatif).

2 415 pages pesant pas moins de 4 kg


Les acteurs Omar Sy ou Pierre Niney, mais aussi le champion de judo Teddy Riner, le coiffeur de Lady Gaga, Charlie Le Mindu, ou encore le Monsieur communication de François Hollande, Gaspard Gantzer, font leur entrée au Who’s Who. Une édition 2016 qui prend, de fait, un sérieux coup de jeune avec également l’arrivée de patrons du e-commerce.

Parmi eux, les stars de l’économie numérique comme Benjamin Cardoso (28 ans), fondateur de la compagnie française de véhicules de tourisme avec chauffeurs (VTC) Le Cab ou Vincent Ricordeau (46 ans), cofondateur de KissKissBankBank (financement participatif).

2 415 pages pesant pas moins de 4 kg


Les acteurs Omar Sy ou Pierre Niney, mais aussi le champion de judo Teddy Riner, le coiffeur de Lady Gaga, Charlie Le Mindu, ou encore le Monsieur communication de François Hollande, Gaspard Gantzer, font leur entrée au Who’s Who. Une édition 2016 qui prend, de fait, un sérieux coup de jeune avec également l’arrivée de patrons du e-commerce.

Parmi eux, les stars de l’économie numérique comme Benjamin Cardoso (28 ans), fondateur de la compagnie française de véhicules de tourisme avec chauffeurs (VTC) Le Cab ou Vincent Ricordeau (46 ans), cofondateur de KissKissBankBank (financement participatif).

2 415 pages pesant pas moins de 4 kg

Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.

la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes »

Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.


Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.

Who’s Who

Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le //www.20minutes.fr/economie/562039-20091021-economie-qui-entre-au-who-s-who-2010">Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.


Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.


>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

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Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.


Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

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Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.


Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

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Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.


Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.

Wendy Bouchard (Europe 1)

Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.


Créé en 1953, ce dictionnaire biographique de référence recense 22 000 personnalités du monde des affaires, de la politique, de la haute fonction publique, des armées, des arts, des médias et de la recherche. Editée par les éditions Laffite-Hébrard et lancée ce jeudi, la 62e bible rouge fait le point sur les « personnalités agissantes », le tout au travers de 2 415 pages pesant pas moins de 4 kg.

Le Who’s Who propose des notices biographiques dûment vérifiées à la fois par les intéressés et la rédaction, qui en font un « anti-Wikipedia », selon l’éditeur Antoine Hébrard. La carrière, la situation personnelle, les distinctions et les loisirs des personnalités sont abordées. « Notre force est l’exactitude. Même les diplômes déclarés sont systématiquement vérifiés. Plus Internet se développe avec ses approximations, et plus l’information vérifiée et précise est recherchée », souligne Antoine Hébrard, qui ajoute qu’on ne « paie pas pour figurer dans le Who’s Who, mais on peut refuser d’y entrer ». L’exactitude a toutefois un prix : 650 euros pour la dernière édition.

>> A lire ici : Etre dans le Who’s Who, « C’est une reconnaissance de mon travail »

Ainsi, Michel-Edouard Leclerc et le navigateur Olivier de Kersauzon refusent aussi obstinément d’y voir leur nom. Et depuis des années, la bible rouge est en conflit avec Arielle Dombasle à propos de sa date de naissance…

L’entrée de la première femme chef de la police des polices

A noter que parmi cette promotion rajeunie de 900 impétrants, on compte également le pilote automobile Sébastien Ogier, les journalistes Anne Fulda (Le Figaro) et Wendy Bouchard (Europe 1), la chef étoilée Stéphanie Le Quellec (Prince de Galles) ou encore le maître chocolatier Philippe Bernachon. Première femme chef de la police des polices, Marie-France Monéger-Guyomarc’h, directrice de l’Inspection Générale de la Police nationale, rejoigne un « cru 2016 » marquée par un brassage de profils et de personnalités.

Diffusé à 10 000 exemplaires mais disponible aussi sur Internet, le Who’s Who est vendu 650 euros. Accessible à tous, la consultation d’une notice biographique est facturée 6 euros.