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Joël Dicker: Le phénomène d'édition est de retour en librairie
LITTERATURE•«Le livre des Baltimore» reprend les recettes de «La vérité sur l'affaire Harry Quebert», succès mondial de 2012...
20 Minutes avec agences
Il avait créé la sensation de la rentrée littéraire en 2012 avec son roman La vérité sur l’affaire Harry Quebert. L’écrivain suisse et attaché parlementaire Joël Dicker, 30 ans, revient en librairie avec Le livre des Baltimore (éditions de Fallois).
Il avait créé la sensation de la rentrée littéraire en 2012 avec son romanef="http://www.20minutes.fr/livres/998187-20130322-la-verite-affaire-harry-quebert-joel-dicker-chez-ed-fallois-paris-france"> La vérité sur l’affaire Harry Quebert. L’écrivain suisse et attaché parlementaire Joël Dicker, 30 ans, revient en librairie avec Le livre des Baltimore (éditions de Fallois).
Ce nouveau roman, de près de 500 pages, reprend les recettes du phénomène littéraire de 2012. On y trouve le même narrateur (Marcus Goldman), le même style de mise en abyme avec des épisodes enchâssés les uns dans les autres. Et comme son prédécesseur Le livre des Baltimore s’avère un vrai-faux roman américain.
« J-20 #LeLivreDesBaltimore pic.twitter.com/sjF2XiL2Am — Joel Dicker (@JoelDicker) September 9, 2015 »
Les droits rachetés un demi-million de dollars pour les Etats-Unis
L’histoire se déroule vers 2010. Par une série de flash-back, le lecteur remonte dans les années 1990 jusqu’à un « drame » (le noeud du roman) daté du 24 novembre 2004. Il suivra, ensuite, les effets de cet événement jusqu’en 2012. Comme dans son premier roman, Joël Dicker, qui a remporté, en 2012 et coup sur coup, le Grand prix du roman de l’Académie française et le Goncourt des lycéens, maîtrise le rythme de son récit.
Souhaitons donc Le livre des Baltimore le même succès que son aîné qui avait fait sensation à la Foire du livre de Francfort, rendez-vous mondial de l’édition, où les droits avaient été vendus dans 30 pays. La vérité sur l’affaire Harry Quebert avait été vendu à 3 millions d’exemplaires en français (dont 1,25 million en France). Il a été traduit en quarante langues et Penguin avait acheté les droits un demi-million de dollars pour les Etats-Unis.
L’histoire se déroule vers 2010. Par une série de flash-back, le lecteur remonte dans les années 1990 jusqu’à un « drame » (le noeud du roman) daté du 24 novembre 2004. Il suivra, ensuite, les effets de cet événement jusqu’en 2012. Comme dans son premier roman, Joël Dicker, qui a remporté, en 2012 et coup sur coup, le Grand prix du roman de l’Académie française et le Goncourt des lycéens, maîtrise le rythme de son récit.
Souhaitons donc Le livre des Baltimore le même succès que son aîné qui avait fait sensation à la Foire du livre de Francfort, rendez-vous mondial de l’édition, où les droits avaient été vendus dans 30 pays. La vérité sur l’affaire Harry Quebert avait été vendu à 3 millions d’exemplaires en français (dont 1,25 million en France). Il a été traduit en quarante langues et Penguin avait acheté les droits un demi-million de dollars pour les Etats-Unis.
L’histoire se déroule vers 2010. Par une série de flash-back, le lecteur remonte dans les années 1990 jusqu’à un « drame » (le noeud du roman) daté du 24 novembre 2004. Il suivra, ensuite, les effets de cet événement jusqu’en 2012. Comme dans son premier roman, Joël Dicker, qui a remporté, en 2012 et coup sur coup, le Grand prix du roman de l’Académie française et le Goncourt des lycéens, maîtrise le rythme de son récit.
Souhaitons donc Le livre des Baltimore le même succès que son aîné qui avait fait sensation à la Foire du livre de Francfort, rendez-vous mondial de l’édition, où les droits avaient été vendus dans 30 pays. La vérité sur l’affaire Harry Quebert avait été vendu à 3 millions d’exemplaires en français (dont 1,25 million en France). Il a été traduit en quarante langues et Penguin avait acheté les droits un demi-million de dollars pour les Etats-Unis.
L’histoire se déroule vers 2010. Par une série de flash-back, le lecteur remonte dans les années 1990 jusqu’à un « drame » (le noeud du roman) daté du 24 novembre 2004. Il suivra, ensuite, les effets de cet événement jusqu’en 2012. Comme dans son premier roman, Joël Dicker, qui a remporté, en 2012 et coup sur coup, le Grand prix du roman de l’Académie française et le Goncourt des lycéens, maîtrise le rythme de son récit.
Souhaitons donc Le livre des Baltimore le même succès que son aîné qui avait fait sensation à la Foire du livre de Francfort, rendez-vous mondial de l’édition, où les droits avaient été vendus dans 30 pays. La vérité sur l’affaire Harry Quebert avait été vendu à 3 millions d’exemplaires en français (dont 1,25 million en France). Il a été traduit en quarante langues et Penguin avait acheté les droits un demi-million de dollars pour les Etats-Unis.
L’histoire se déroule vers 2010. Par une série de flash-back, le lecteur remonte dans les années 1990 jusqu’à un « drame » (le noeud du roman) daté du 24 novembre 2004. Il suivra, ensuite, les effets de cet événement jusqu’en 2012. Comme dans son premier roman, Joël Dicker, qui a remporté, en 2012 et coup sur coup, le Grand prix du roman de l’Académie française et le Goncourt des lycéens, maîtrise le rythme de son récit.
Souhaitons donc Le livre des Baltimore le même succès que son aîné qui avait fait sensation à la Foire du livre de Francfort, rendez-vous mondial de l’édition, où les droits avaient été vendus dans 30 pays. La vérité sur l’affaire Harry Quebert avait été vendu à 3 millions d’exemplaires en français (dont 1,25 million en France). Il a été traduit en quarante langues et Penguin avait acheté les droits un demi-million de dollars pour les Etats-Unis.
L’histoire se déroule vers 2010. Par une série de flash-back, le lecteur remonte dans les années 1990 jusqu’à un « drame » (le noeud du roman) daté du 24 novembre 2004. Il suivra, ensuite, les effets de cet événement jusqu’en 2012. Comme dans son premier roman, Joël Dicker, qui a remporté, en 2012 et coup sur coup, le Grand prix du roman de l’Académie française et le Goncourt des lycéens, maîtrise le rythme de son récit.
Souhaitons donc Le livre des Baltimore le même succès que son aîné qui avait fait sensation à la Foire du livre de Francfort, rendez-vous mondial de l’édition, où les droits avaient été vendus dans 30 pays. La vérité sur l’affaire Harry Quebert avait été vendu à 3 millions d’exemplaires en français (dont 1,25 million en France). Il a été traduit en quarante langues et Penguin avait acheté les droits un demi-million de dollars pour les Etats-Unis.
L’histoire se déroule vers 2010. Par une série de flash-back, le lecteur remonte dans les années 1990 jusqu’à un « drame » (le noeud du roman) daté du 24 novembre 2004. Il suivra, ensuite, les effets de cet événement jusqu’en 2012. Comme dans son premier roman, Joël Dicker, qui a remporté, en 2012 et coup sur coup, le Grand prix du roman de l’Académie française et le Goncourt des lycéens, maîtrise le rythme de son récit.
Souhaitons donc Le livre des Baltimore le même succès que son aîné qui avait fait sensation à la Foire du livre de Francfort, rendez-vous mondial de l’édition, où les droits avaient été vendus dans 30 pays. La vérité sur l’affaire Harry Quebert avait été vendu à 3 millions d’exemplaires en français (dont 1,25 million en France). Il a été traduit en quarante langues et Penguin avait acheté les droits un demi-million de dollars pour les Etats-Unis.
L’histoire se déroule vers 2010. Par une série de flash-back, le lecteur remonte dans les années 1990 jusqu’à un « drame » (le noeud du roman) daté du 24 novembre 2004. Il suivra, ensuite, les effets de cet événement jusqu’en 2012. Comme dans son premier roman, Joël Dicker, qui a remporté, en 2012 et coup sur coup, le Grand prix du roman de l’Académie française et le Goncourt des lycéens, maîtrise le rythme de son récit.
Souhaitons donc Le livre des Baltimore le même succès que son aîné qui avait fait sensation à la Foire du livre de Francfort, rendez-vous mondial de l’édition, où les droits avaient été vendus dans 30 pays. La vérité sur l’affaire Harry Quebert avait été vendu à 3 millions d’exemplaires en français (dont 1,25 million en France). Il a été traduit en quarante langues et Penguin avait acheté les droits un demi-million de dollars pour les Etats-Unis.
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