Festival d'Avignon: Bartabas furieux contre Olivier Py de ne pas avoir été programmé
SPECTACLE•«Olivier Py a choisi de couper Avignon des grands spectacles populaires», affirme le metteur en scène de théâtre équestre...20 Minutes avec AFP
Il y a des coups de sabot qui se perdent. Bartabas, qui crée le 8 juin son nouveau spectacle On achève bien les anges, (Elégies) aux Nuits de Fourvière, reproche au directeur du Festival d'Avignon Olivier Py de ne pas l'accueillir cette année et dénonce ses choix de programmation.
Des metteurs en scène et non des administrateurs
«Un patron de festival doit montrer tout le spectre de la création», souligne-t-il dans un entretien à LObs publié jeudi: «Or, Olivier Py a choisi de couper Avignon des grands spectacles populaires», accuse-t-il, en rappelant que huit de ses créations ont été données en première française à Avignon depuis 1988.
Il y a des coups de sabot qui se perdent. Bartabas, qui crée le 8 juin son nouveau spectacle On achève bien les anges, (Elégies) aux Nuits de Fourvière, reproche au directeur du Festival d'Avignon Olivier Py de ne pas l'accueillir cette année et dénonce ses choix de programmation.
Des metteurs en scène et non des administrateurs
«Un patron de festival doit montrer tout le spectre de la création», souligne-t-il dans un entretien à LObs publié jeudi: «Or, Olivier Py a choisi de couper Avignon des grands spectacles populaires», accuse-t-il, en rappelant que huit de ses créations ont été données en première française à Avignon depuis 1988.
Il y a des coups de sabot qui se perdent. Bartabas, qui crée le 8 juin son nouveau spectacle On achève bien les anges, (Elégies) aux Nuits de Fourvière, reproche au directeur du Festival d'Avignon Olivier Py de ne pas l'accueillir cette année et dénonce ses choix de programmation.
Des metteurs en scène et non des administrateurs
«Un patron de festival doit montrer tout le spectre de la création», souligne-t-il dans un entretien à LObs publié jeudi: «Or, Olivier Py a choisi de couper Avignon des grands spectacles populaires», accuse-t-il, en rappelant que huit de ses créations ont été données en première française à Avignon depuis 1988.
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Des metteurs en scène et non des administrateurs
«Un patron de festival doit montrer tout le spectre de la création», souligne-t-il dans un entretien à LObs publié jeudi: «Or, Olivier Py a choisi de couper Avignon des grands spectacles populaires», accuse-t-il, en rappelant que huit de ses créations ont été données en première française à Avignon depuis 1988.
Le chef du théâtre Zingaro, connu pour son tempérament ombrageux, dénonce la nomination à la tête de grandes institutions de metteurs en scène et non d'administrateurs. «Désormais, le ver est dans le fruit, insiste Bartabas. Par essence, un metteur en scène s'intéresse d'abord à son travail, et il n'a besoin des autres que dans un système d'échange de bons procédés: je te prends un spectacle si tu me prends le mien».
Son travail d'abord ?
Olivier Py «ne trouve rien de mieux que d'ouvrir le festival avec sa propre mise en scène du Roi Lear dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes», poursuit-il, «il reproduit à Avignon ce qu'il faisait au théâtre de l'Odéon, où il présentait son travail en priorité». Selon Bartabas, Olivier Py, lorsqu'il l'a sollicité, aurait répondu: «Nous n'avons plus les mêmes moyens que dans les années 1970». Le Festival d'Avignon n'a pas souhaité réagir.
Le festival d'Avignon a été fondé par un artiste, Jean Vilar, qui a mis en scène et interprété plusieurs pièces dans la Cour d'Honneur, dont le mythique Prince de Hombourg avec Gérard Philipe. Olivier Py est le premier artiste nommé à la tête du festival depuis Jean Vilar.
Le chef du théâtre Zingaro, connu pour son tempérament ombrageux, dénonce la nomination à la tête de grandes institutions de metteurs en scène et non d'administrateurs. «Désormais, le ver est dans le fruit, insiste Bartabas. Par essence, un metteur en scène s'intéresse d'abord à son travail, et il n'a besoin des autres que dans un système d'échange de bons procédés: je te prends un spectacle si tu me prends le mien».
Son travail d'abord ?
Olivier Py «ne trouve rien de mieux que d'ouvrir le festival avec sa propre mise en scène du Roi Lear dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes», poursuit-il, «il reproduit à Avignon ce qu'il faisait au théâtre de l'Odéon, où il présentait son travail en priorité». Selon Bartabas, Olivier Py, lorsqu'il l'a sollicité, aurait répondu: «Nous n'avons plus les mêmes moyens que dans les années 1970». Le Festival d'Avignon n'a pas souhaité réagir.
Le festival d'Avignon a été fondé par un artiste, Jean Vilar, qui a mis en scène et interprété plusieurs pièces dans la Cour d'Honneur, dont le mythique Prince de Hombourg avec Gérard Philipe. Olivier Py est le premier artiste nommé à la tête du festival depuis Jean Vilar.
Le chef du théâtre Zingaro, connu pour son tempérament ombrageux, dénonce la nomination à la tête de grandes institutions de metteurs en scène et non d'administrateurs. «Désormais, le ver est dans le fruit, insiste Bartabas. Par essence, un metteur en scène s'intéresse d'abord à son travail, et il n'a besoin des autres que dans un système d'échange de bons procédés: je te prends un spectacle si tu me prends le mien».
Son travail d'abord ?
Olivier Py «ne trouve rien de mieux que d'ouvrir le festival avec sa propre mise en scène du Roi Lear dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes», poursuit-il, «il reproduit à Avignon ce qu'il faisait au théâtre de l'Odéon, où il présentait son travail en priorité». Selon Bartabas, Olivier Py, lorsqu'il l'a sollicité, aurait répondu: «Nous n'avons plus les mêmes moyens que dans les années 1970». Le Festival d'Avignon n'a pas souhaité réagir.
Le festival d'Avignon a été fondé par un artiste, Jean Vilar, qui a mis en scène et interprété plusieurs pièces dans la Cour d'Honneur, dont le mythique Prince de Hombourg avec Gérard Philipe. Olivier Py est le premier artiste nommé à la tête du festival depuis Jean Vilar.
Le chef du théâtre Zingaro, connu pour son tempérament ombrageux, dénonce la nomination à la tête de grandes institutions de metteurs en scène et non d'administrateurs. «Désormais, le ver est dans le fruit, insiste Bartabas. Par essence, un metteur en scène s'intéresse d'abord à son travail, et il n'a besoin des autres que dans un système d'échange de bons procédés: je te prends un spectacle si tu me prends le mien».
Son travail d'abord ?
Olivier Py «ne trouve rien de mieux que d'ouvrir le festival avec sa propre mise en scène du Roi Lear dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes», poursuit-il, «il reproduit à Avignon ce qu'il faisait au théâtre de l'Odéon, où il présentait son travail en priorité». Selon Bartabas, Olivier Py, lorsqu'il l'a sollicité, aurait répondu: «Nous n'avons plus les mêmes moyens que dans les années 1970». Le Festival d'Avignon n'a pas souhaité réagir.
Le festival d'Avignon a été fondé par un artiste, Jean Vilar, qui a mis en scène et interprété plusieurs pièces dans la Cour d'Honneur, dont le mythique Prince de Hombourg avec Gérard Philipe. Olivier Py est le premier artiste nommé à la tête du festival depuis Jean Vilar.