Kindle Unlimited: Le PDG d'Hachette Livre tacle la formule d'abonnement à accès illimité
LIVRE•Arnaud Nourry fait le pari que cette formule lancée par Amazon «ne va pas prospérer»...20 Minutes avec AFP
Le Kindle Unlimited, la formule d'abonnement à accès illimité d'e-books lancée par Amazon en décembre en France, ne prospérera pas, a assuré vendredi Arnaud Nourry, PDG de Hachette livre, filiale du groupe Lagardère. «C'est une formule qui, selon nous, ne va pas prospérer je m'en réjouis», a déclaré le patron du premier groupe d'édition en France sur France Inter.
Le Kindle Unlimited, la formule d'abonnement à accès illimité d'e-books lancée par Amazon en décembre en France, ne prospérera pas, a assuré vendredi Arnaud Nourry, PDG de Hachette livre, filiale du groupe Lagardère. «C'est une formule qui, selon nous, ne va pas prospérer je m'en réjouis», a déclaré le patron du premier groupe d'édition en France sur France Inter.
Ce type d'abonnement revient à «dégrader de matière massive les conditions d'exploitation que nos auteurs nous demandent de défendre, ça n'a pas de sens pour l'éditeur, ça n'a pas de sens pour les lecteurs et ce n'est pas conforme à la loi», a-t-il insisté.
«C'est une offre qui n'a aucun intérêt»
«Les gros lecteurs lisent deux livres par mois, quel est l'intérêt de payer 9,99 euros par mois pour 100.000 livres? C'est une offre qui n'a aucun intérêt si ce n'est pour découvrir les livres, ce qu'on peut faire en librairie et on n'a même pas besoin de payer 9,99 euros», a remarqué le responsable.
Arnaud Nourri s'est par ailleurs félicité d'avoir résisté aux tentatives d'Amazon de réduire le prix du livre numérique aux Etats-Unis. Le groupe a conclu un accord avec le géant américain en 2014. «On a résisté. L'enjeu c'était de tenir le contrôle sur le prix auquel étaient vendus les livres.»
«Les livres numériques représentent 5% du marché en France»
«Au fond la bataille qui m'a opposé à Amazon l'an dernier était autour de ce thème particulier, qui va décider du prix de vente. Si on perd le contrôle sur le prix de vente des livres, Google aura peut-être l'idée de les donner ou de les prêter gratuitement», a-t-il expliqué. Les livres numériques représentent quelque 40% du marché aux Etats-Unis, contre 20% au Royaume-Uni mais seulement 5% en France, a-t-il rappelé.
Ce type d'abonnement revient à «dégrader de matière massive les conditions d'exploitation que nos auteurs nous demandent de défendre, ça n'a pas de sens pour l'éditeur, ça n'a pas de sens pour les lecteurs et ce n'est pas conforme à la loi», a-t-il insisté.
«C'est une offre qui n'a aucun intérêt»
«Les gros lecteurs lisent deux livres par mois, quel est l'intérêt de payer 9,99 euros par mois pour 100.000 livres? C'est une offre qui n'a aucun intérêt si ce n'est pour découvrir les livres, ce qu'on peut faire en librairie et on n'a même pas besoin de payer 9,99 euros», a remarqué le responsable.
Arnaud Nourri s'est par ailleurs félicité d'avoir résisté aux tentatives d'Amazon de réduire le prix du livre numérique aux Etats-Unis. Le groupe a conclu un accord avec le géant américain en 2014. «On a résisté. L'enjeu c'était de tenir le contrôle sur le prix auquel étaient vendus les livres.»
«Les livres numériques représentent 5% du marché en France»
«Au fond la bataille qui m'a opposé à Amazon l'an dernier était autour de ce thème particulier, qui va décider du prix de vente. Si on perd le contrôle sur le prix de vente des livres, Google aura peut-être l'idée de les donner ou de les prêter gratuitement», a-t-il expliqué. Les livres numériques représentent quelque 40% du marché aux Etats-Unis, contre 20% au Royaume-Uni mais seulement 5% en France, a-t-il rappelé.
Ce type d'abonnement revient à «dégrader de matière massive les conditions d'exploitation que nos auteurs nous demandent de défendre, ça n'a pas de sens pour l'éditeur, ça n'a pas de sens pour les lecteurs et ce n'est pas conforme à la loi», a-t-il insisté.
«C'est une offre qui n'a aucun intérêt»
«Les gros lecteurs lisent deux livres par mois, quel est l'intérêt de payer 9,99 euros par mois pour 100.000 livres? C'est une offre qui n'a aucun intérêt si ce n'est pour découvrir les livres, ce qu'on peut faire en librairie et on n'a même pas besoin de payer 9,99 euros», a remarqué le responsable.
Arnaud Nourri s'est par ailleurs félicité d'avoir résisté aux tentatives d'Amazon de réduire le prix du livre numérique aux Etats-Unis. Le groupe a conclu un accord avec le géant américain en 2014. «On a résisté. L'enjeu c'était de tenir le contrôle sur le prix auquel étaient vendus les livres.»
«Les livres numériques représentent 5% du marché en France»
«Au fond la bataille qui m'a opposé à Amazon l'an dernier était autour de ce thème particulier, qui va décider du prix de vente. Si on perd le contrôle sur le prix de vente des livres, Google aura peut-être l'idée de les donner ou de les prêter gratuitement», a-t-il expliqué. Les livres numériques représentent quelque 40% du marché aux Etats-Unis, contre 20% au Royaume-Uni mais seulement 5% en France, a-t-il rappelé.
Ce type d'abonnement revient à «dégrader de matière massive les conditions d'exploitation que nos auteurs nous demandent de défendre, ça n'a pas de sens pour l'éditeur, ça n'a pas de sens pour les lecteurs et ce n'est pas conforme à la loi», a-t-il insisté.
«C'est une offre qui n'a aucun intérêt»
«Les gros lecteurs lisent deux livres par mois, quel est l'intérêt de payer 9,99 euros par mois pour 100.000 livres? C'est une offre qui n'a aucun intérêt si ce n'est pour découvrir les livres, ce qu'on peut faire en librairie et on n'a même pas besoin de payer 9,99 euros», a remarqué le responsable.
Arnaud Nourri s'est par ailleurs félicité d'avoir résisté aux tentatives d'Amazon de réduire le prix du livre numérique aux Etats-Unis. Le groupe a conclu un accord avec le géant américain en 2014. «On a résisté. L'enjeu c'était de tenir le contrôle sur le prix auquel étaient vendus les livres.»
«Les livres numériques représentent 5% du marché en France»
«Au fond la bataille qui m'a opposé à Amazon l'an dernier était autour de ce thème particulier, qui va décider du prix de vente. Si on perd le contrôle sur le prix de vente des livres, Google aura peut-être l'idée de les donner ou de les prêter gratuitement», a-t-il expliqué. Les livres numériques représentent quelque 40% du marché aux Etats-Unis, contre 20% au Royaume-Uni mais seulement 5% en France, a-t-il rappelé.
Ce type d'abonnement revient à «dégrader de matière massive les conditions d'exploitation que nos auteurs nous demandent de défendre, ça n'a pas de sens pour l'éditeur, ça n'a pas de sens pour les lecteurs et ce n'est pas conforme à la loi», a-t-il insisté.
«C'est une offre qui n'a aucun intérêt»
«Les gros lecteurs lisent deux livres par mois, quel est l'intérêt de payer 9,99 euros par mois pour 100.000 livres? C'est une offre qui n'a aucun intérêt si ce n'est pour découvrir les livres, ce qu'on peut faire en librairie et on n'a même pas besoin de payer 9,99 euros», a remarqué le responsable.
Arnaud Nourri s'est par ailleurs félicité d'avoir résisté aux tentatives d'Amazon de réduire le prix du livre numérique aux Etats-Unis. Le groupe a conclu un accord avec le géant américain en 2014. «On a résisté. L'enjeu c'était de tenir le contrôle sur le prix auquel étaient vendus les livres.»
«Les livres numériques représentent 5% du marché en France»
«Au fond la bataille qui m'a opposé à Amazon l'an dernier était autour de ce thème particulier, qui va décider du prix de vente. Si on perd le contrôle sur le prix de vente des livres, Google aura peut-être l'idée de les donner ou de les prêter gratuitement», a-t-il expliqué. Les livres numériques représentent quelque 40% du marché aux Etats-Unis, contre 20% au Royaume-Uni mais seulement 5% en France, a-t-il rappelé.
Ce type d'abonnement revient à «dégrader de matière massive les conditions d'exploitation que nos auteurs nous demandent de défendre, ça n'a pas de sens pour l'éditeur, ça n'a pas de sens pour les lecteurs et ce n'est pas conforme à la loi», a-t-il insisté.
«C'est une offre qui n'a aucun intérêt»
«Les gros lecteurs lisent deux livres par mois, quel est l'intérêt de payer 9,99 euros par mois pour 100.000 livres? C'est une offre qui n'a aucun intérêt si ce n'est pour découvrir les livres, ce qu'on peut faire en librairie et on n'a même pas besoin de payer 9,99 euros», a remarqué le responsable.
Arnaud Nourri s'est par ailleurs félicité d'avoir résisté aux tentatives d'Amazon de réduire le prix du livre numérique aux Etats-Unis. Le groupe a conclu un accord avec le géant américain en 2014. «On a résisté. L'enjeu c'était de tenir le contrôle sur le prix auquel étaient vendus les livres.»
«Les livres numériques représentent 5% du marché en France»
«Au fond la bataille qui m'a opposé à Amazon l'an dernier était autour de ce thème particulier, qui va décider du prix de vente. Si on perd le contrôle sur le prix de vente des livres, Google aura peut-être l'idée de les donner ou de les prêter gratuitement», a-t-il expliqué. Les livres numériques représentent quelque 40% du marché aux Etats-Unis, contre 20% au Royaume-Uni mais seulement 5% en France, a-t-il rappelé.
Ce type d'abonnement revient à «dégrader de matière massive les conditions d'exploitation que nos auteurs nous demandent de défendre, ça n'a pas de sens pour l'éditeur, ça n'a pas de sens pour les lecteurs et ce n'est pas conforme à la loi», a-t-il insisté.
«C'est une offre qui n'a aucun intérêt»
«Les gros lecteurs lisent deux livres par mois, quel est l'intérêt de payer 9,99 euros par mois pour 100.000 livres? C'est une offre qui n'a aucun intérêt si ce n'est pour découvrir les livres, ce qu'on peut faire en librairie et on n'a même pas besoin de payer 9,99 euros», a remarqué le responsable.
Arnaud Nourri s'est par ailleurs félicité d'avoir résisté aux tentatives d'Amazon de réduire le prix du livre numérique aux Etats-Unis. Le groupe a conclu un accord avec le géant américain en 2014. «On a résisté. L'enjeu c'était de tenir le contrôle sur le prix auquel étaient vendus les livres.»
«Les livres numériques représentent 5% du marché en France»
«Au fond la bataille qui m'a opposé à Amazon l'an dernier était autour de ce thème particulier, qui va décider du prix de vente. Si on perd le contrôle sur le prix de vente des livres, Google aura peut-être l'idée de les donner ou de les prêter gratuitement», a-t-il expliqué. Les livres numériques représentent quelque 40% du marché aux Etats-Unis, contre 20% au Royaume-Uni mais seulement 5% en France, a-t-il rappelé.