Jack Lang et Daniel Pennac manifestent en soutien aux intermittents
CULTURE•A l'appel du directeur du Théâtre du Rond-Point, Jean-Michel Ribes, p lusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées lundi en fin de matinée pour soutenir les intermittents...A.L. avec AFP
Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées lundi en fin de matinée place de la Concorde à Paris pour soutenir les intermittents à l'appel du directeur du Théâtre du Rond-Point, Jean-Michel Ribes, qui avait appelé à un «rassemblement citoyen» pour «tous ceux qui savent que la cause des intermittents du spectacle est celle de la défense des libertés fondamentales de la République».
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La plupart des personnes présentes étaient des salariés et artistes du Théâtre du Rond-Point, mais avaient aussi répondu à l'appel des personnalités, comme le romancier Daniel Pennac qui y joue actuellement «Journal d'un corps», l'ancien ministre de la Culture socialiste Jack Lang et le comédien et metteur en scène Stanislas Nordey.
«Je pense qu'il faut un moratoire [sur l'application des nouvelles règles d'indemnisation chômage] et que tout le monde se mette autour de la table. Mais il ne faut pas que ce moratoire soit une simple manoeuvre pour sauver les festivals » de l'été, a déclaré M. Ribes. La ministre de la Culture, «Aurélie Filippetti, que j'ai appelée ce matin, et Manuel Valls se battent pour une sortie de crise. Le problème ce sont les partenaires sociaux, le Medef et la CFDT, qui ne veulent pas renégocier», a-t-il jugé.
Daniel Pennac: «C'est révoltant»
«Je vois la façon dont les intermittents vivent, avec des salaires entre 1.000 et 2.000 euros par mois. On fait passer les petits salaires pour des privilégiés, c'est révoltant», a estimé Daniel Pennac.
«Si je sors de ma réserve, c'est que j'éprouve un sentiment de gravité et d'urgence», a déclaré M. Lang, estimant que le gouvernement ne devait pas valider le durcissement des conditions d'indemnisation des intermittents.
Les manifestants doivent rejoindre le grand rassemblement prévu à 14h30 à proximité du ministère de la Culture dans la cadre de cette journée d'action nationale des intermittents.
La plupart des personnes présentes étaient des salariés et artistes du Théâtre du Rond-Point, mais avaient aussi répondu à l'appel des personnalités, comme le romancier Daniel Pennac qui y joue actuellement «Journal d'un corps», l'ancien ministre de la Culture socialiste Jack Lang et le comédien et metteur en scène Stanislas Nordey.
«Je pense qu'il faut un moratoire [sur l'application des nouvelles règles d'indemnisation chômage] et que tout le monde se mette autour de la table. Mais il ne faut pas que ce moratoire soit une simple manoeuvre pour sauver les festivals » de l'été, a déclaré M. Ribes. La ministre de la Culture, «Aurélie Filippetti, que j'ai appelée ce matin, et Manuel Valls se battent pour une sortie de crise. Le problème ce sont les partenaires sociaux, le Medef et la CFDT, qui ne veulent pas renégocier», a-t-il jugé.
Daniel Pennac: «C'est révoltant»
«Je vois la façon dont les intermittents vivent, avec des salaires entre 1.000 et 2.000 euros par mois. On fait passer les petits salaires pour des privilégiés, c'est révoltant», a estimé Daniel Pennac.
«Si je sors de ma réserve, c'est que j'éprouve un sentiment de gravité et d'urgence», a déclaré M. Lang, estimant que le gouvernement ne devait pas valider le durcissement des conditions d'indemnisation des intermittents.
Les manifestants doivent rejoindre le grand rassemblement prévu à 14h30 à proximité du ministère de la Culture dans la cadre de cette journée d'action nationale des intermittents.
La plupart des personnes présentes étaient des salariés et artistes du Théâtre du Rond-Point, mais avaient aussi répondu à l'appel des personnalités, comme le romancier Daniel Pennac qui y joue actuellement «Journal d'un corps», l'ancien ministre de la Culture socialiste Jack Lang et le comédien et metteur en scène Stanislas Nordey.
«Je pense qu'il faut un moratoire [sur l'application des nouvelles règles d'indemnisation chômage] et que tout le monde se mette autour de la table. Mais il ne faut pas que ce moratoire soit une simple manoeuvre pour sauver les festivals » de l'été, a déclaré M. Ribes. La ministre de la Culture, «Aurélie Filippetti, que j'ai appelée ce matin, et Manuel Valls se battent pour une sortie de crise. Le problème ce sont les partenaires sociaux, le Medef et la CFDT, qui ne veulent pas renégocier», a-t-il jugé.
Daniel Pennac: «C'est révoltant»
«Je vois la façon dont les intermittents vivent, avec des salaires entre 1.000 et 2.000 euros par mois. On fait passer les petits salaires pour des privilégiés, c'est révoltant», a estimé Daniel Pennac.
«Si je sors de ma réserve, c'est que j'éprouve un sentiment de gravité et d'urgence», a déclaré M. Lang, estimant que le gouvernement ne devait pas valider le durcissement des conditions d'indemnisation des intermittents.
Les manifestants doivent rejoindre le grand rassemblement prévu à 14h30 à proximité du ministère de la Culture dans la cadre de cette journée d'action nationale des intermittents.
La plupart des personnes présentes étaient des salariés et artistes du Théâtre du Rond-Point, mais avaient aussi répondu à l'appel des personnalités, comme le romancier Daniel Pennac qui y joue actuellement «Journal d'un corps», l'ancien ministre de la Culture socialiste Jack Lang et le comédien et metteur en scène Stanislas Nordey.
«Je pense qu'il faut un moratoire [sur l'application des nouvelles règles d'indemnisation chômage] et que tout le monde se mette autour de la table. Mais il ne faut pas que ce moratoire soit une simple manoeuvre pour sauver les festivals » de l'été, a déclaré M. Ribes. La ministre de la Culture, «Aurélie Filippetti, que j'ai appelée ce matin, et Manuel Valls se battent pour une sortie de crise. Le problème ce sont les partenaires sociaux, le Medef et la CFDT, qui ne veulent pas renégocier», a-t-il jugé.
Daniel Pennac: «C'est révoltant»
«Je vois la façon dont les intermittents vivent, avec des salaires entre 1.000 et 2.000 euros par mois. On fait passer les petits salaires pour des privilégiés, c'est révoltant», a estimé Daniel Pennac.
«Si je sors de ma réserve, c'est que j'éprouve un sentiment de gravité et d'urgence», a déclaré M. Lang, estimant que le gouvernement ne devait pas valider le durcissement des conditions d'indemnisation des intermittents.
Les manifestants doivent rejoindre le grand rassemblement prévu à 14h30 à proximité du ministère de la Culture dans la cadre de cette journée d'action nationale des intermittents.
La plupart des personnes présentes étaient des salariés et artistes du Théâtre du Rond-Point, mais avaient aussi répondu à l'appel des personnalités, comme le romancier Daniel Pennac qui y joue actuellement «Journal d'un corps», l'ancien ministre de la Culture socialiste Jack Lang et le comédien et metteur en scène Stanislas Nordey.
«Je pense qu'il faut un moratoire [sur l'application des nouvelles règles d'indemnisation chômage] et que tout le monde se mette autour de la table. Mais il ne faut pas que ce moratoire soit une simple manoeuvre pour sauver les festivals » de l'été, a déclaré M. Ribes. La ministre de la Culture, «Aurélie Filippetti, que j'ai appelée ce matin, et Manuel Valls se battent pour une sortie de crise. Le problème ce sont les partenaires sociaux, le Medef et la CFDT, qui ne veulent pas renégocier», a-t-il jugé.
Daniel Pennac: «C'est révoltant»
«Je vois la façon dont les intermittents vivent, avec des salaires entre 1.000 et 2.000 euros par mois. On fait passer les petits salaires pour des privilégiés, c'est révoltant», a estimé Daniel Pennac.
«Si je sors de ma réserve, c'est que j'éprouve un sentiment de gravité et d'urgence», a déclaré M. Lang, estimant que le gouvernement ne devait pas valider le durcissement des conditions d'indemnisation des intermittents.
Les manifestants doivent rejoindre le grand rassemblement prévu à 14h30 à proximité du ministère de la Culture dans la cadre de cette journée d'action nationale des intermittents.
La plupart des personnes présentes étaient des salariés et artistes du Théâtre du Rond-Point, mais avaient aussi répondu à l'appel des personnalités, comme le romancier Daniel Pennac qui y joue actuellement «Journal d'un corps», l'ancien ministre de la Culture socialiste Jack Lang et le comédien et metteur en scène Stanislas Nordey.
«Je pense qu'il faut un moratoire [sur l'application des nouvelles règles d'indemnisation chômage] et que tout le monde se mette autour de la table. Mais il ne faut pas que ce moratoire soit une simple manoeuvre pour sauver les festivals » de l'été, a déclaré M. Ribes. La ministre de la Culture, «Aurélie Filippetti, que j'ai appelée ce matin, et Manuel Valls se battent pour une sortie de crise. Le problème ce sont les partenaires sociaux, le Medef et la CFDT, qui ne veulent pas renégocier», a-t-il jugé.
Daniel Pennac: «C'est révoltant»
«Je vois la façon dont les intermittents vivent, avec des salaires entre 1.000 et 2.000 euros par mois. On fait passer les petits salaires pour des privilégiés, c'est révoltant», a estimé Daniel Pennac.
«Si je sors de ma réserve, c'est que j'éprouve un sentiment de gravité et d'urgence», a déclaré M. Lang, estimant que le gouvernement ne devait pas valider le durcissement des conditions d'indemnisation des intermittents.
Les manifestants doivent rejoindre le grand rassemblement prévu à 14h30 à proximité du ministère de la Culture dans la cadre de cette journée d'action nationale des intermittents.