Stromae commence cette semaine sa conquête de l'Amérique
MUSIQUE•Le chanteur va se produire en concert à Montréal mardi et mercredi, puis vendredi pour la première fois à New York...20 Minutes avec AFP
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.
«Si nous sommes capables de danser sur de la musique en anglais, je pense que les Anglo-saxons sont capables de faire la même chose» sur du français: porté par son succès phénoménal en Europe, Stromae se prépare à conquérir l'Amérique. Après Montréal mardi et mercredi, le chanteur belge se produira vendredi pour la première fois à New York, où son concert au Best Buy Theatre de Times Square affiche complet depuis longtemps. Mi-septembre, il retraversera l'Atlantique pour une douzaine de concerts notamment à Philadelphie, Washington, New York, Boston, Toronto, Chicago, Vancouver et San Francisco, avant Los Angeles le 4 octobre.
Il n'envisage pas du tout de chanter en anglais
«Le challenge c'est quand même de venir chanter en français chez eux», reconnaît l'artiste, dans un entretien à l'AFP. «C'est vrai que c'est un peu plus compliqué que pour certains autres pays qui parlent une autre langue». Mais «ce n'est pas impossible», ajoute-t-il. L'auteur-compositeur-interprète n'a pas pour autant envie de chanter en anglais, même s'il le parle plutôt bien.
«Je ne l'envisage pas du tout dans un futur proche ou moyen» dit-il, sans cependant exclure des «collaborations avec des gens qui chantent en anglais». «Je pense que ça se ressent aussi musicalement quand on entend quelqu'un qui s'exprime dans une langue qui n'est pas la sienne. Si la volonté est uniquement stratégique, ça se ressent. Je pense que je ne serais pas tout à fait convaincu, et il faut que je le sois avant que les autres le soient.» «La sonorité des mots a plus d'importance encore que le sens », dit-il aussi.
La Motown, Michael Jackson et Notorious B.I.G
Des Etats-Unis, il aime la musique Motown que sa mère a beaucoup écoutée, il cite aussi «Michael. Personne ne peut dire qu'il n'a pas été influencé par Michael [Jackson].» Il évoque aussi Notorious B.I.G, précise aussi que «ce qui se fait en rap aujourd'hui me touche beaucoup plus.» Il se réjouit de retourner au Québec et au Canada, le compare à la Belgique.
«Il y a un peu un truc de looser, pour moi c'est un compliment, looser. Quand on est à côté d'un grand pays comme les Etats-Unis ou, à plus petite échelle la France, forcément, on ne peut être qu'un pays de loosers et c'est très bon pour la santé mentale. Il y a une grande humilité, une grande humanité, un truc très simple quand on va au Canada, que je ressens chaque fois, et que je suis très content de retrouver ».
Et même en tournée, il compte bien regarder la Coupe du monde et les «diables rouges» belges. «Il y a des bars belges à New York», dit-il. Mais «je ne sais pas si c'est la meilleure idée si je veux suivre mon match de manière sereine et concentrée». Le morceau Ta Fête avait été choisi comme hymne officiel de l'équipe belge.
Stromae a déjà enchaîné cette année 90 concerts en Europe et au Maroc, souvent à guichets fermés. Son deuxième album, Racine Carrée s'est vendu à plus de 2 millions d'exemplaires et la vidéo de son titre «Formidable» dépasse 80 millions de vues sur YouTube.