«I'll be back. » Terminator, c'était Schwarzenegger, des lunettes noires et des robots rutilants. Terminator Renaissance, c'est (presque) la même chose mais sans Schwarzie. Poursuites et bastons sont au rendez-vous de cette nouvelle formule musclée. « Le troisième volet de la série lui avait fait perdre un peu de sa crédibilité, explique McG. J'ai voulu respecter l'esprit de deux premiers films tout en posant les bases de ma propre trilogie. »

Le réalisateur de Charlie et ses drôles de dames envoie Christian Bale et Sam Worthington casser du Terminator avant que les machines ne détruisent l'humanité. « L'action était ma priorité, confie le cinéaste. J'ai conçu mon film comme une attraction foraine en ne laissant aucun répit au spectateur. » Les robots, eux, se ont grandi et se sont perfectionnés. « Le film regorge d'effets numériques, explique McG. Mais j'ai tenu à construire le plus d'éléments possibles afin que les acteurs puissent réagir à d'autres choses que des écrans verts. » Les décharges d'adrénaline qui accompagnent ce nouvel opus donnent envie de voir la suite. On sait que Christian Bale voyagera dans le temps pour rendre visite aux politiciens de 2010 et les convaincre de la menace que représente Terminator...