Mark Wahlberg a dû avoir un petit pincement au cœur en disant adieu à la saga Transformers à laquelle il participait depuis 2014. Pour The last knight, sa dernière virée au pays des robots sous la direction de Michael Bay, le comédien est entouré de partenaires de choix dont Anthony Hopkins et Josh Duhamel sans compter la ravissante Laura Haddock.

Ça barde dans le cinquième volet de la franchise où les humains ont fini par s’allier au fort peu recommandable Megatron. Châteaux ancestraux et références aux chevaliers de la Table ronde sont au menu de cet opus qui cartonne au box-office américain. « J’adore les films Transformers parce qu’ils me rappellent mes jeux d’enfant tout en me donnant des décharges d’adrénaline digne de grands films d’action. Michael Bay va toujours plus loin pour donner au spectateur ce qu’il souhaite », confiait l’acteur à 20 Minutes. Mais que pensent ses partenaires du comédien qu’on a aussi vu récemment dans les comédies Ted.

Un héros très discret

Dans le film, Anthony Hopkins incarne un lord anglais jusqu’au bout des ongles et s’amuse visiblement avec son camarade de jeu.

« Mark est du genre discret. Comme moi, c’est un bosseur qui arrive totalement préparé sur le plateau. Et comme moi aussi, il n’aime pas se prendre au sérieux. On était à l’aise qu’on a pas mal improvisé avec la bénédiction du réalisateur. Il faut dire qu’on a été gâtés pour les lieux de tournage de Stonehenge au Mall devant Buckingham Palace ! », explique-t-il.

Plus présent que jamais

Josh Duhamel, habitué des Transformers, donne de nouveau la réplique à Wahlberg dans un personnage qui s’est assombri au fil des années.

« Je trouve que Mark a pris de l’épaisseur dans les deux derniers épisodes. Il donne une vraie solidité au film tout en restant ce gars de Boston qui ne se prend pas la tête et qui ne fait jamais d’histoires. Il fait montre d’une attention remarquable tant pour l’équipe que pour les autres acteurs »

De la joie, mais du boulot

Nouvelle venue dans la franchise, Laura Haddock se glisse dans la peau d’une universitaire anglaise aux formes avantageuses.

« Mark m’a cornaquée en me donnant l’exemple. S’il n’est pas le dernier à plaisanter, c’est surtout un bosseur. Quand je suis arrivée, il m’a conseillé de m’éclater autant que je pouvais mais surtout de travailler très très dur comme il le fait lui-même. »