«La loi de la jungle»: Vimala Pons veut qu'«on retrouve de la joie dans le sexe au cinéma»
FANTAISIE•La ravissante trentenaire pétille de joie de vivre dans cette fable engagée à l’humour totalement frappadingue…Caroline Vié
Elle est pleine de vie Vimala Pons ! La belle trentenaire retrouve le réalisateur ( Antonin Peretjatko) de La fille du 14 juillet pour La loi de la jungle, l’histoire d’un gaffeur (Vincent Macaigne) débarquant en Guyanne pour y installer une station de ski avec l’aide d’une bombe sensuelle à la personnalité volcanique (Vimala Pons). « Il s’agit d’un film drôle et engagé qui parle d’une France dirigée par des stagiaires », explique la jeune femme à 20 Minutes.
Elle se régale avec des larves
La comédienne a tout de suite été séduite par cette fantaisie débridée. « Antonin [Peretjatko] m’apportait le scénario par petits bouts alors que j’étais hospitalisée pour un problème neurologique et son humour m’a aidé à guérir », raconte-t-elle. Pourtant, le réalisateur ne la ménage pas. Il lui fait même dévorer… des larves. « La seule chose que je ne voulais pas voir, c’était les blattes ce qu’il a respecté. Quant aux larves, ça a le goût de noix de coco et la consistance du beurre : je n’en ferais pas une habitude bien que ce soit plein de protéines… » Le taquin Vincent Macaigne s’amusait à improviser pendant cette scène très drôle afin de l’obliger à en manger davantage.
Elle court après la nudité
Vimala Pons n’est pas avare de son physique et le prouve lors de scènes dénudées fort sexy. « C’est moi qui recherche la nudité, pas les réalisateurs, car je souhaite que l’on retrouve de la joie dans le sexe au cinéma. Une scène de comédie sexy donne envie de faire l’amour. En tout cas davantage que des ahanements essoufflés. » La ravissante actrice est devenue un symbole sexuel à la plastique très appréciée. « Là, je me suis coupé les cheveux. Les gens ne me reconnaissent pas, donc je ne me rends pas bien compte de mon succès dans ce domaine », avoue-t-elle.
aElle aime les nouvelles expériences
Elle est cependant restée habillée pour le sulfureux Elle de Paul Verhoeven. « On a beaucoup ri quand on s’est rencontrés parce que je ne comprenais rien à ce qu’il disait et que j’avais été prévenue à la dernière minute pour le casting. Il avait fait de gros progrès en français au moment du tournage ». Après avoir changé de sexe pour Les garçons sauvages de Bertrand Mandico qu’elle vient de terminer, cette brillante artiste de cirque reviendra à ses anciennes amours avec un spectacle qu’elle décrit comme « un show à compléter et à rembobiner, avec de la musique, des performances et plusieurs histoires. » On n’est pas sûr de bien comprendre de quoi il s’agit, mais ça donne rudement envie…