«Joy»: Jennifer Lawrence entrepreneuse à la poigne de fer et au charme ravageur
ENTREPRENANTE•La belle comédienne, découverte dans la saga « Hunger Games », est épatante en femme d’entreprise…Caroline Vié
Jennifer Lawrence recevra-t-elle un deuxième Oscar pour Joy ? Sa collaboration avec David O’Russell et Bradley Cooper lui avait déjà valu une statuette pour Happiness Therapy (2013). Cette fois, elle est citée aux Golden Globes dans ce biopic où elle incarne Joy Mangano, une femme qui a fait fortune en inventant une serpillière magique !
Une authentique success story
Serveuse devenue une femme d’entreprise prospère, Joy Mangano doit tout à la « miracle mop », serpillière composée de trois cents lamelles de coton. C’est parce qu’elle peinait à nettoyer son appartement que cette mère de famille divorcée a mis au point ce balai révolutionnaire. Les ventes décollent quand cette belle blonde décide de le promouvoir elle-même sur une chaîne de téléachat. Elle se retrouve bientôt à la tête d’un empire où elle vend ses autres créations : linge de maison, cintres antidérapants, parfums… et même un restaurant italien.
Un film antimorosité
Le réalisateur de American Bluff (2014) s’est toujours passionné pour les laissés pour compte tentant d’échapper au quotidien par la force de la volonté. On comprend aisément pourquoi la belle blonde, aujourd’hui âgée de 59 ans, l’a inspiré. David O’Russell suit cette héroïne aussi dynamique que résolue sur une période de 40 années tandis qu’elle compose avec une famille pour le moins compliquée et des affaires pas toujours florissantes. Ce conte résolument optimiste connaîtra-il une suite ? La vraie Joy Mangano vient de mettre au point une nouvelle version serpillière…