BIOPICMarie Curie: Inspiration pour les «post-féministes» et sujet d'un prochain film

Marie Curie: Inspiration pour les «post-féministes» et sujet d'un prochain film

BIOPICLa vie de Marie Curie, chercheuse de génie, est au centre d'un long métrage tourné à Lodz en Pologne...
20 Minutes avec AFP

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La vie de Marie Curie, «vraie femme» et chercheuse de génie, est au centre d'un long métrage tourné à Lodz en Pologne par la réalisatrice Marie Noelle qui considère la physicienne aux deux prix Nobel comme une inspiration pour les «post-féministes».

La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».


La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».

pic.twitter.com/ta87hwdVP1

La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».

June 16, 2015

La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».


La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».


La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».


Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie,

La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».


La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».


La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».


La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».

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La différence de génération n'y change rien. Pour la cinéaste Marie Noëlle, qui a tourné entre autres Louis II et La Femme de l'anarchiste, avec son mari allemand Peter Sehr, Marie Curie-Sklodowska est un exemple. Il en va de même pour la jeune actrice polonaise Karolina Gruszka, qui incarne la physicienne dans cette coproduction franco-germano-polonaise.

«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».

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«Elle m'a servi de modèle»

«A dix ou douze ans, on m'a donné un livre sur Marie Curie et ça m'a semblé être absolument la vie à rechercher! Elle m'a servi de modèle», dit Marie Noëlle qui a fait maths sup avant de se lancer dans le cinéma. Elle se dit «post-féministe», mais considère que le combat pour la place des femmes n'est pas terminé. «En Europe, il n'y a que 13% de femmes dans la recherche de haut niveau, alors que l'on sait que les filles sont plus douées pour les maths», dit-elle.

Six ans de la «vie de vraie femme»

Son film raconte six ans de la «vie de vraie femme» de Marie Curie, en retraçant notamment sa liaison avec le physicien Paul Langevin, qui avait fait scandale à l'époque. «En six ans, elle met au monde un enfant, elle perd son mari auquel la liait la même passion pour la recherche, elle retombe amoureuse et traverse un scandale public, puis elle obtient son deuxième Nobel», énumère la cinéaste.

Pour l'actrice Karolina Gruszka, Marie Curie «était évidemment féministe. Sans doute, elle ne se définissait pas ainsi, mais elle a dû se battre pour les droits des femmes», première professeure à la Sorbonne, première femme à recevoir le prix Nobel...

Preuve de l'actualité de la question, des propos jugés sexistes d'un prix Nobel britannique, Tim Hunt, ont soulevé cette semaine une vague de protestations sur les réseaux sociaux. Le chercheur a dit au sujet des femmes: «Trois choses se passent quand elles sont dans les labos: vous tombez amoureux d'elles, elles tombent amoureuses de vous, et quand vous les critiquez, elles pleurent.» Des internautes ont alors mis en ligne des photos de Marie Curie avec la mention: «Je suis vraiment contente que Marie Curie ait trouvé le temps d'arrêter de pleurer pour découvrir le radium et le polonium».

June 11, 2015