SELECTION OFFICIELLEEn compétition au Festival de Cannes: «The Valley of love» de Guillaume Nicloux

En compétition au Festival de Cannes: «The Valley of love» de Guillaume Nicloux

SELECTION OFFICIELLEChaque jour, « 20 Minutes » vous présente les enjeux des films en compétition sur la Croisette. Ce vendredi 22 mai, « The Valley of love » de Guillaume Nicloux…

Première sélection à Cannes pour le réalisateur du Poulpe (1998) et de L’Enlèvement de Michel Houellebecq

Si le film m’était conté

Isabelle et Gérard vivent séparés depuis longtemps. Un jour, ils se donnent rendez-vous dans La Vallée de Mort, en Californie, en réponse une invitation de leur fils, Michael, qu’ils ont reçue après son suicide, six mois auparavant. Malgré l’absurdité de la situation, ils suivent le programme proposé et en ressortiront bouleversés…



Si sa sélection m’était expliquée

Une quête initiatique dans la vallée de la mort aux Etats-Unis, l’apparition de fantômes et la présence de deux des plus grandes stars du cinéma français dans leurs propres rôles… Qui avaient déjà partagé l’affiche de Loulou de Pialat, il y a 35 ans. Il n’en fallait pas plus pour intriguer. Et promettre une belle montée des marches de surcroît.

Si on m’avait dit

Guillaume Nicloux avait d’abord pensé à Ryan O’Neal, l’acteur de Love Story, pour jouer le rôle du père et du mari. Avant que l’idée d’un autre Guillaume n’apparaisse. Et avec lui, le nom de son père, Gérard Depardieu. « Il est celui grâce à qui le sens du film est apparu définitivement », explique Guillaume Nicloux.

Si on lui donnait la Palme

Ce serait étonnant, car si Valley of love est un film intéressant et intrigant, ce n’est pas un « grand » film, comme on les aime à Cannes. Juste une quête initiatique honnêtement mise en scène, avec deux très grands acteurs mais qu’on a déjà vus dans des rôles autrement plus ambitieux.