«Pacific Rim» est bien LE blockbuster de l'été 2013
CINEMA•Guillermo del Toro revient avec un pur délice de cinéma de science-fiction... Action dans les salles à partir du 17 juillet...Caroline Vié
Robots géants pilotés par des humains contre créatures préhistoriques gigantesques : tel est le programme que propose Guillermo del Toro dans Pacific Rim qui sortira le 17 juillet. Bonne nouvelle, ça déménage et pas qu’un peu. 20Minutes s’est fait aider par le réalisateur lui-même pour vous dire pourquoi il faut y aller.
- C’est mieux que Transformers
Impossible de ne pas penser à la saga de Michael Bay en lisant le résumé, mais Pacific Rim ne se contente pas de multiplier les scènes d’action. Les personnages existent. «On a soigné chaque personnage et fait en sorte qu'il apprenne à faire confiance aux autres. C’est l’essence du film», raconte Guillermo del Toro à 20Minutes.
On est en pleine (science) fiction
Grand fan du cinéma de genre, del Toro rend hommage aux mangas. «On est dans la pure fiction. Certes, il y a de la bagarre, mais mon film n’a rien à voir avec le monde réel. C’est une bédé qui bouge!»
- Les monstres cassent tout
Godzilla et les géants préhistoriques du cinéma japonais ne sont pas loin dans cette fresque où les mégapoles se font gaillardement piétiner. «Il y a une forme d’innocence dans ce type de créatures. Je vois poésie enfantine dans leur sens de la destruction, un peu comme un bambin qui piétine ses jouets.»
- Les robots sont touchants
Parce qu’elles sont animées par deux humains en symbiose, les machines de Pacific Rim finissent par devenir aussi attachantes que leurs pilotes. «J’ai souhaité qu’on puisse ressentir de l’humanité dans ces énormes machines. Ces robots ont un côté très positifs car ils permettent aux héros de mieux se comprendre les uns les autres.»
- Ron Perlman est là
Perlman, c’est l’acteur fétiche de Guillermo del Toro. Hellboy déjà, c’était lui ! Là, il incarne un trafiquant qui aime les sous plus que tout. «Ce type est un génie: j’ai écrit le rôle pour lui! C’est un méchant flamboyant qu’on finit par aimer. Je voulais qu’il soit plus étrange que les monstres du film.»