Epinglé par la DGCCRF, un influenceur se fait tatouer pour marquer le coup

Epinglé par la DGCCRF, un influenceur se fait tatouer un terme sans équivoque sur le bras

RÉSEAUX SOCIAUXLa DGCCRF reprochait notamment à Anthony Mateo de ne pas préciser son intention commerciale dans ses publications
20 Minutes avec agence

20 Minutes avec agence

Début juin, plusieurs influenceurs ont été épinglés par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) pour pratiques commerciales trompeurs sur Instagram et Snapchat. Anthony Mateo, qui faisait partie des célébrités pointées du doigt, a visiblement décidé de prendre la chose avec humour.

Actuellement à Bali, l’influenceur a décidé de s’offrir son tout premier tatouage et en a profité pour faire un gros clin d’œil à la DGCCRF, rapporte le HuffPost. Anthony Mateo a filmé toute sa séance de tatouage et l’a partagée sur TikTok pour « marquer le coup ». En fin de vidéo, on voit enfin le résultat : le mot « #sponsorisé » est tatoué sur son bras.


@anthonymateoofficiel

Je me fais tatouer à Bali 🇮🇩 et regardez bien jusqu’à la fin 😏😉 #bali #tatoo #anthonymateo #humour #funny #ink #balivibes

♬ Monkeys Spinning Monkeys - Kevin MacLeod & Kevin The Monkey

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Six influenceurs épinglés

« Au moins je ne l’oublierai plus », a déclaré l’influenceur sur Instagram en partageant une photo de son tatouage, faisant ainsi référence à la fameuse mention qui manquait dans certaines de ses publications. La DGCCRF avait en effet estimé que l’influenceur « n’indiquait pas l’intention commerciale de ses publications à visée publicitaire », alors qu’il s’agit d’une obligation.


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De même, selon la Répression des fraudes, Anthony Mateo « donnait l’impression qu’un service d’injections d’acide hyaluronique réalisé par une esthéticienne ne disposant pas de la qualité de médecin est licite alors qu’il ne l’est pas ». Au total, six influenceurs ont ainsi été épinglés début juin 2023 par la DGCCRF.


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Tous ont dû partager sur leurs réseaux un message précisant leurs torts, dans le cadre d’une intensification de la lutte contre les pratiques commerciales trompeuses en ligne. Parallèlement, le Parlement a adopté le 1er juin une proposition de loi pour mieux encadrer le milieu des influenceurs, en particulier sur la promotion de la chirurgie esthétique ou des jeux d’argent et de hasard.