JUSTICEGironde: Un boucher condamné pour détention de plus de 900 kg de viande avariée

Gironde: Un boucher condamné pour détention de plus de 900 kg de viande avariée

JUSTICELe tribunal correctionnel de Bordeaux a estimé qu'il y avait non respect des règles liées à la prévention de la vache folle...
Elsa Provenzano

E.P.

Trois mois de prison avec sursis et 5000 euros d’amende, c’est la peine à laquelle un boucher-traiteur, gérant une boutique à Arès et au Haillan a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Il a été reconnu coupable de tromperie, non-respect des règles liées à la prévention de la vache folle et détention de denrées avariées, selon les informations révélées par « Sud Ouest Dimanche » dans son édition du 17 mai.

Un liquide verdâtre s’échappe de certaines viandes

Les agents de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) ont inspecté la boucherie d’Arès, après une dénonciation. Ils racontent qu’ils ont observé des chats s’attaquant à la viande stockée dans un stand non sécurisé. Ils précisent que certains morceaux de viande avaient une couleur et/ou une odeur anormales et même que de certaines viandes utilisées pour les produits traiteur s’échappait «un liquide verdâtre» quand on les pressait. Les mêmes problèmes d’hygiène ont été relevés par les agents dans la boucherie du Haillan. Au total, plus de 900 kg de viande impropre à la consommation ont été saisis. Les deux établissements avaient été fermés dans la foulée des inspections.

«Un paquet de bêtises»

Le prévenu, qui réalisait un chiffre d’affaires annuel de 700 000 euros, a expliqué avoir fait « une dépression» et «un paquet de bêtises» suite à des problèmes personnels. Son avocate pointe le fait qu' «on ne peut pas dire que ces denrées étaient à la vente. N’importe quel consommateur qui voit de la viande verte, il ne l’achète pas. Mon client devait venir récupérer ces viandes, il ne l’a pas fait».

«Il y a eu mise en danger de la vie d’autrui. La maladie de la vache folle met plusieurs années à se déclarer. Rien ne permet de dire que des gens sont passés à travers les mailles du filet. Cela fait froid dans le dos», a rétorqué la magistrate du parquet.

selon les informations révélées par « Sud Ouest Dimanche » dans son édition du 17 mai.
Trois mois de prison avec sursis et 5000 euros d’amende, c’est la peine à laquelle un boucher-traiteur, gérant une boutique à Arès et au Haillan a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Il a été reconnu coupable de tromperie, non-respect des règles liées à la prévention de la vache folle et détention de denrées avariées, selon les informations révélées par « Sud Ouest Dimanche » dans son édition du 17 mai.

Un liquide verdâtre s’échappe de certaines viandes

Les agents de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) ont inspecté la boucherie d’Arès, après une dénonciation. Ils racontent qu’ils ont observé des chats s’attaquant à la viande stockée dans un stand non sécurisé. Ils précisent que certains morceaux de viande avaient une couleur et/ou une odeur anormales et même que de certaines viandes utilisées pour les produits traiteur s’échappait «un liquide verdâtre» quand on les pressait. Les mêmes problèmes d’hygiène ont été relevés par les agents dans la boucherie du Haillan. Au total, plus de 900 kg de viande impropre à la consommation ont été saisis. Les deux établissements avaient été fermés dans la foulée des inspections.

«Un paquet de bêtises»

Le prévenu, qui réalisait un chiffre d’affaires annuel de 700 000 euros, a expliqué avoir fait « une dépression» et «un paquet de bêtises» suite à des problèmes personnels. Son avocate pointe le fait qu' «on ne peut pas dire que ces denrées étaient à la vente. N’importe quel consommateur qui voit de la viande verte, il ne l’achète pas. Mon client devait venir récupérer ces viandes, il ne l’a pas fait».

«Il y a eu mise en danger de la vie d’autrui. La maladie de la vache folle met plusieurs années à se déclarer. Rien ne permet de dire que des gens sont passés à travers les mailles du filet. Cela fait froid dans le dos», a rétorqué la magistrate du parquet.


Trois mois de prison avec sursis et 5000 euros d’amende, c’est la peine à laquelle un boucher-traiteur, gérant une boutique à Arès et au Haillan a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Il a été reconnu coupable de tromperie, non-respect des règles liées à la prévention de la vache folle et détention de denrées avariées, selon les informations révélées par « Sud Ouest Dimanche » dans son édition du 17 mai.

Un liquide verdâtre s’échappe de certaines viandes

Les agents de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) ont inspecté la boucherie d’Arès, après une dénonciation. Ils racontent qu’ils ont observé des chats s’attaquant à la viande stockée dans un stand non sécurisé. Ils précisent que certains morceaux de viande avaient une couleur et/ou une odeur anormales et même que de certaines viandes utilisées pour les produits traiteur s’échappait «un liquide verdâtre» quand on les pressait. Les mêmes problèmes d’hygiène ont été relevés par les agents dans la boucherie du Haillan. Au total, plus de 900 kg de viande impropre à la consommation ont été saisis. Les deux établissements avaient été fermés dans la foulée des inspections.

«Un paquet de bêtises»

Le prévenu, qui réalisait un chiffre d’affaires annuel de 700 000 euros, a expliqué avoir fait « une dépression» et «un paquet de bêtises» suite à des problèmes personnels. Son avocate pointe le fait qu' «on ne peut pas dire que ces denrées étaient à la vente. N’importe quel consommateur qui voit de la viande verte, il ne l’achète pas. Mon client devait venir récupérer ces viandes, il ne l’a pas fait».

«Il y a eu mise en danger de la vie d’autrui. La maladie de la vache folle met plusieurs années à se déclarer. Rien ne permet de dire que des gens sont passés à travers les mailles du filet. Cela fait froid dans le dos», a rétorqué la magistrate du parquet.


Trois mois de prison avec sursis et 5000 euros d’amende, c’est la peine à laquelle un boucher-traiteur, gérant une boutique à Arès et au Haillan a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Il a été reconnu coupable de tromperie, non-respect des règles liées à la prévention de la vache folle et détention de denrées avariées, selon les informations révélées par « Sud Ouest Dimanche » dans son édition du 17 mai.

Un liquide verdâtre s’échappe de certaines viandes

Les agents de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) ont inspecté la boucherie d’Arès, après une dénonciation. Ils racontent qu’ils ont observé des chats s’attaquant à la viande stockée dans un stand non sécurisé. Ils précisent que certains morceaux de viande avaient une couleur et/ou une odeur anormales et même que de certaines viandes utilisées pour les produits traiteur s’échappait «un liquide verdâtre» quand on les pressait. Les mêmes problèmes d’hygiène ont été relevés par les agents dans la boucherie du Haillan. Au total, plus de 900 kg de viande impropre à la consommation ont été saisis. Les deux établissements avaient été fermés dans la foulée des inspections.

«Un paquet de bêtises»

Le prévenu, qui réalisait un chiffre d’affaires annuel de 700 000 euros, a expliqué avoir fait « une dépression» et «un paquet de bêtises» suite à des problèmes personnels. Son avocate pointe le fait qu' «on ne peut pas dire que ces denrées étaient à la vente. N’importe quel consommateur qui voit de la viande verte, il ne l’achète pas. Mon client devait venir récupérer ces viandes, il ne l’a pas fait».

«Il y a eu mise en danger de la vie d’autrui. La maladie de la vache folle met plusieurs années à se déclarer. Rien ne permet de dire que des gens sont passés à travers les mailles du filet. Cela fait froid dans le dos», a rétorqué la magistrate du parquet.


Trois mois de prison avec sursis et 5000 euros d’amende, c’est la peine à laquelle un boucher-traiteur, gérant une boutique à Arès et au Haillan a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Il a été reconnu coupable de tromperie, non-respect des règles liées à la prévention de la vache folle et détention de denrées avariées, selon les informations révélées par « Sud Ouest Dimanche » dans son édition du 17 mai.

Un liquide verdâtre s’échappe de certaines viandes

Les agents de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) ont inspecté la boucherie d’Arès, après une dénonciation. Ils racontent qu’ils ont observé des chats s’attaquant à la viande stockée dans un stand non sécurisé. Ils précisent que certains morceaux de viande avaient une couleur et/ou une odeur anormales et même que de certaines viandes utilisées pour les produits traiteur s’échappait «un liquide verdâtre» quand on les pressait. Les mêmes problèmes d’hygiène ont été relevés par les agents dans la boucherie du Haillan. Au total, plus de 900 kg de viande impropre à la consommation ont été saisis. Les deux établissements avaient été fermés dans la foulée des inspections.

«Un paquet de bêtises»

Le prévenu, qui réalisait un chiffre d’affaires annuel de 700 000 euros, a expliqué avoir fait « une dépression» et «un paquet de bêtises» suite à des problèmes personnels. Son avocate pointe le fait qu' «on ne peut pas dire que ces denrées étaient à la vente. N’importe quel consommateur qui voit de la viande verte, il ne l’achète pas. Mon client devait venir récupérer ces viandes, il ne l’a pas fait».

«Il y a eu mise en danger de la vie d’autrui. La maladie de la vache folle met plusieurs années à se déclarer. Rien ne permet de dire que des gens sont passés à travers les mailles du filet. Cela fait froid dans le dos», a rétorqué la magistrate du parquet.



Trois mois de prison avec sursis et 5000 euros d’amende, c’est la peine à laquelle un boucher-traiteur, gérant une boutique à Arès et au Haillan a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Bordeaux. Il a été reconnu coupable de tromperie, non-respect des règles liées à la prévention de la vache folle et détention de denrées avariées, selon les informations révélées par « Sud Ouest Dimanche » dans son édition du 17 mai.

Un liquide verdâtre s’échappe de certaines viandes

Les agents de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) ont inspecté la boucherie d’Arès, après une dénonciation. Ils racontent qu’ils ont observé des chats s’attaquant à la viande stockée dans un stand non sécurisé. Ils précisent que certains morceaux de viande avaient une couleur et/ou une odeur anormales et même que de certaines viandes utilisées pour les produits traiteur s’échappait «un liquide verdâtre» quand on les pressait. Les mêmes problèmes d’hygiène ont été relevés par les agents dans la boucherie du Haillan. Au total, plus de 900 kg de viande impropre à la consommation ont été saisis. Les deux établissements avaient été fermés dans la foulée des inspections.

«Un paquet de bêtises»

Le prévenu, qui réalisait un chiffre d’affaires annuel de 700 000 euros, a expliqué avoir fait « une dépression» et «un paquet de bêtises» suite à des problèmes personnels. Son avocate pointe le fait qu' «on ne peut pas dire que ces denrées étaient à la vente. N’importe quel consommateur qui voit de la viande verte, il ne l’achète pas. Mon client devait venir récupérer ces viandes, il ne l’a pas fait».

«Il y a eu mise en danger de la vie d’autrui. La maladie de la vache folle met plusieurs années à se déclarer. Rien ne permet de dire que des gens sont passés à travers les mailles du filet. Cela fait froid dans le dos», a rétorqué la magistrate du parquet.