Sachant que Porsche est en train de mettre à jour la génération 992, il faut s’attendre à voir défiler les communiqués concernant chacune des innombrables versions de l’actuelle 911. Nous ne parlerons pas de toutes, mais certaines sont incontournables.

Comme la GT3 de la semaine dernière, ou encore cette 911 considérée comme l’une des versions les plus pures : la « T », pour Touring. Si elle considérée comme pure, c’est parce qu’elle tâche de suivre l’exemple des anciennes Carrera T des origines, qui étaient les moins puissantes de la gamme, mais surtout les plus sobrement équipées, donc les plus légères, donc les plus agiles. Tout cela est à relativiser à notre époque, mais la 911 T reste une voiture de puriste, et voici pourquoi.

6, pas 7

La raison principale est bien sûr qu’elle associe le Flat 6 3.0 litres de base (393 ch) à une boîte manuelle. Notons que celle-ci revient à 6 rapports, Porsche ayant laissé tomber le 7ème qui, de l’avis général, n’apportait rien. Porsche supprime aussi l’option boîte auto PDK, qui vidait quelque peu la T de son sens. La raison suivante est un peu émoussée, puisqu’elle porte sur le poids.

La 911 T ne pèse que 12 kilos de moins qu’une Carrera de base. Peu significatif, mais cela s’explique notamment par le fait que la T reçoit en série le train arrière directionnel, ce qui profite énormément au plaisir de conduite. Enfin, parmi les nouveautés, on citera aussi la banquette arrière proposée en option gratuite. Cette dernière est livrée d’office sur LA nouveauté du jour : la 911 T existe désormais aussi en version cabrio. Une 911 cabrio à boîte manuelle ? On en salive…