C’était un coupé, l’A5 devient désormais la berline moyenne « mainstream » dans la gamme Audi. Conformément à la nouvelle nomenclature de la marque, elle prend en effet la succession de l’actuelle A5, mais aussi de l’A4, puisque les modèles à numéros pairs seront à l’avenir uniquement électriques. Les carrosseries coupé et cabriolet disparaissent donc, seule la version 5 portes Sportback à hayon est conservée, secondée d’une inédite version break. Cette dernière devrait d’ailleurs représenter le gros des ventes sur plusieurs marchés d’Europe, dont le nôtre.

Essence et diesel en attendant l’hybride

La nouvelle A5 s’allonge de 67 mm pour atteindre 4,82 m. Un gabarit généreux qui ne transparaît pas trop tant le nouveau modèle arbore une apparence musclée, même dans ses versions de base. À l’intérieur, l’habitacle est bardé d’écrans, avec une instrumentation numérique et un écran central orientés vers le conducteur, tandis que le passager avant dispose de son propre écran.

Au lancement, l’A5 sera proposée avec un 2.0l TFSI de 150 ou 204 chevaux, ainsi qu’un diesel 2.0 TDI de 204 chevaux. Plus tard, la gamme s’étoffera de motorisations hybrides rechargeables, dont l’autonomie électrique sera supérieure à 100 km. Dès le lancement en novembre, la nouvelle Audi A5 sera également proposée en version sportive S5, dotée d’un V6 3.0l de 367 ch. Les prix débutent à 45.000€.