AutoAlfa Romeo Quadrifoglio Super Sport, l’adieu au V6

Alfa Romeo Quadrifoglio Super Sport, l’adieu au V6

AutoAlfa lance une édition limitée des Giulia et Stelvio haut de gamme, qui revêt des spécificités esthétiques vraiment uniques, et qui ressemble à un adieu au délicieux moteur V6 des Quadrifoglio
Edition limitée Alfa Romeo Quadrifoglio Super Sport, 275 exemplaires de la Giulia, 175 exemplaires du Stelvio
Edition limitée Alfa Romeo Quadrifoglio Super Sport, 275 exemplaires de la Giulia, 175 exemplaires du Stelvio - Alfa Romeo
Stéphane Lémeret

Stéphane Lémeret

Soyons francs, Alfa Romeo a souvent tendance à parler de série limitée pour ce qui est en fait une série spéciale sans réelle exclusivité. Ce n’est pas le cas ici. D’abord parce que la version de base est la Quadrifoglio, déjà remarquable en soi ; ensuite parce que la production est effectivement limitée. Il y aura 275 Giulia Quadrifoglio Super Sport dans le monde, et 175 Stelvio. La mécanique est inchangée, on reste donc avec V6 2.9 de 520 ch, associé à la boîte auto 8, à la transmission arrière avec autobloquant et… à un échappement de chez Akrapoviç.

Edition limitée Alfa Romeo Quadrifoglio Super Sport, 275 exemplaires de la Giulia, 175 exemplaires du Stelvio
Edition limitée Alfa Romeo Quadrifoglio Super Sport, 275 exemplaires de la Giulia, 175 exemplaires du Stelvio - Alfa Romeo

Hommage

Les spécificités sont esthétiques : peinture Bianco Alfa, Nero Vulcano ou Rosso Etna à trois couches, jantes 19’’ « cadran de téléphone » et étriers de freins noirs. Et pour la première fois en quelque 100 ans d’histoire, le fameux trèfle à quatre feuilles qui orne les ailes est sur fond noir, pas sur fond blanc. Enfin, l’intérieur est décoré d’inserts en fibre de carbone, qui présente un maillage rouge très réussi. Bref, c’est bien une voiture spéciale que propose Alfa, encore plus rare que sa géniale GTA, produite à 500 exemplaires. Joli baroud d’honneur pour les modèles phares de la marque. Quant à savoir si c’est aussi la fin du V6 chez Alfa… Nous aurions dit oui il y a deux ans, mais rien n’est moins sûr aujourd’hui.