RECTIFICATIF: Non, Stellantis ne supprime pas 33.000 emplois comme nous l'avons indiqué par erreur
Auto•Cet article publié sur notre site faisait état par erreur de 33.000 suppressions de poste. Il reposait sur une mauvaise interprétation d'un document. Toutes nos excuses aux concernésStéphane Lémeret
RECTIFICATIF : Cet article évoquait la suppression de 33.000 emploi sur la base d'un document que s'est procuré Reuters. Or le plan évoqué est accessible aux 35.000 salariés potentiellement concernés mais il ne fait pas état du nombre de postes qui seront supprimés.
Un note interne a été communiquée à l’agence de presse provient de chez Stellantis, le géant automobile franco-germano-italo-américain dirigé par Carlos Tavares. Pas fondamentalement convaincu par la marche forcée vers le 100% électrique, ce dernier avait prédit il y a longtemps que cette transition à but écologique (ne lançons pas le débat ici) laisserait des traces sur le plan social. Dans la note envoyée par la branche américaine de Stellantis à ses employés, il est dit en résumé que le surcoût d’une voiture électrique ne pouvait être répercuté sur le client, et que pour être un leader de ce marché, le groupe allait devoir procéder à de grosses économies.
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