AutoOpel dit non à la Chine

Opel dit non à la Chine

AutoLe groupe Stellantis, à qui appartient Opel, renonce à son projet d’expansion de la marque allemande sur le territoire chinois. Un choix motivé par des freins tant politiques qu’économiques.
Stéphane Lémeret

Stéphane Lémeret

L’objectif initial était de créer un levier de croissance supplémentaire. Mais Opel ne s’installera finalement pas en Chine. Le constructeur souhaite désormais se concentrer sur la rentabilité, la qualité et la durabilité.

Trois freins ciblés

Plusieurs raisons ont motivé la groupe Stellantis à suspendre ce projet. D’abord, la Chine impose de nouvelles restrictions pour les constructeurs, et la politique du « zéro Covid » fait chuter les productions. Ensuite, Opel doute de son attractivité en Chine. Sur le marché concurrentiel de la voiture électrique, le volume requis pour avoir un impact est jugé trop grand. Opel préfère donc se retirer.