« Le Maillon faible » : Revivez les moments forts du célèbre jeu télé de retour sur M6
(IN) correct !•« Le Maillon faible », programme phare des années 2000, fait son grand retour ce mercredi soir sur M6 avec le comédien Vincent Dedienne à l’animationJérémy Vial
«Bonjour, vous allez lire un article sur… ''Le Maillon faible''. » Ce mercredi à 21h10, une sorte de retour vers le futur sera proposé sur M6 avec la diffusion du « Maillon faible », le temps d’une soirée événement. Exit Laurence Boccolini, qui a fait les belles heures du programme entre 2001 et 2007 sur TF1, place au comédien Vincent Dedienne à l’animation. Un jeu qui repose principalement sur le ton sarcastique du présentateur. Des punchlines sont même restées mythiques. Replay !
Une sacrée mécanique
Pour les plus jeunes d’entre nous, « Le Maillon faible » est un jeu télévisé qui se déroule dans un décor sombre – histoire de faire monter la pression –, où neuf candidats sont alignés derrière leurs pupitres, placés en arc de cercle. Ils doivent répondre aux plus de questions possibles, en seulement 2 minutes et 30 secondes. Le candidat qui crie « banque » permet à l’ensemble des participants d’épargner les gains engrangés suite aux bonnes réponses données. Une mauvaise réponse fait perdre à l’équipe l’argent accumulé, sans avoir été épargné.
Puis vient le moment des petites tablettes, où chaque candidat, à l’instar des « Traîtres » sur M6, inscrits le nom de l’adversaire qu’il souhaite voir quitter le jeu. L’éliminé doit alors quitter le plateau, sans le moindre regard de l’animateur, et livrer son avis, face caméra, sur son éviction. Le moment des pleurs ou celui de régler ses comptes.
« Vous êtes le maillon faible, au revoir ! »
« Vous êtes le maillon faible, au revoir ! » Cette phrase, prononcée mâchoire serrée et regard perçant au moment de la défaite d’un joueur, a poursuivi Laurence Boccolini pendant de longues années, à l’instar d’un « C’est votre dernier mot ? » pour Jean-Pierre Foucault, dans « Qui veut gagner des millions ? ». Mais l’un des moments les plus attendus du programme reste la ou les punchlines de l’animateur qui précède la sentence de départ d’un des participants. Et dans cet exercice, Laurence Boccolini a particulièrement excellé.
Petit florilège :
- « Qui va rentrer chez lui si vite qu’il aurait pu se garer en double file ? »
- « Qui n’aurait jamais dû prévenir sa famille qu’il passait à la télé ? »
- « Qui va ne plus avoir comme solution que de changer de nom et d’adresse ? »
- « Vous êtes directeur des ressources humaines, d’habitude vous virez les gens, cette fois ce sont eux qui vous virent. Au revoir ! »
- « Qui a des connaissances aussi petites qu’elles pourraient tenir sur un timbre-poste, et encore, écrit en gros ? »
- « Qui est en train de faire une très mauvaise pub pour le système éducatif français ? »
- « Qui a la rapidité d’un ascenseur en panne ? »
- « Seulement 300 francs en banque ! Si ça continue, c’est vous qui allez nous devoir de l’argent. » ,
- « Vous auriez dû envoyer votre fils pour jouer à votre place. »
- « Qui pense qu’il suffit de sourire à la caméra pour réussir ? »
A Vincent Dedienne de jouer !
Après Laurence Boccolini, entre 2001 et 2007 sur TF1, et Julien Courbet, entre 2014 et 2015 sur D8, « Le Maillon faible » revient à l’antenne, sur M6, avec Vincent Dedienne aux manettes. L’humoriste tentera de conserver le ton impertinent et cassant qui colle si bien au rôle d’animateur du jeu adapté de « The Weakest Link », en Grande-Bretagne. Dans les extraits diffusés par M6, on salive d’avance des punchlines à venir. « Qui ne comprend tellement rien qu’il est encore en train d’attendre que Laurence Boccolini arrive ? », lance ainsi celui qui a cartonné en cette rentrée avec le film « Parents d’élèves » sur Netflix.
Ce mercredi soir, pour ce « one shot » du « Maillon faible », qui pourrait en appeler d’autres en cas de succès, Florence Foresti, Julie Gayet, Marc Lavoine, Camille Combal, Bernard Campan ou encore Pierre-François Martin-Laval vont se mesurer aux questions de culture générale posées par Vincent Dedienne. « Ta-din-din-diiiiiiin » ou la vive envie de réentendre le mythique générique de ce jeu télé qui l’est tout autant.
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