DéfiAudrey Fleurot dans une version féminine du « Comte de Monte-Cristo »

Audrey Fleurot va produire une version féminine du « Comte de Monte-Cristo » sur TF1

DéfiL’actrice de « HPI » a dévoilé au « Parisien » que le tournage pourrait commencer en septembre 2025
L’actrice a crevé le petit écran avec son rôle de flic surdouée et de mère en galère, mais « à partir du moment où on lui a trouvé un boulot stable, une famille qui roule bon an mal an, une maison, j’ai peur qu’on ronronne », explique-t-elle.
L’actrice a crevé le petit écran avec son rôle de flic surdouée et de mère en galère, mais « à partir du moment où on lui a trouvé un boulot stable, une famille qui roule bon an mal an, une maison, j’ai peur qu’on ronronne », explique-t-elle. - P. Maillet / Starface
Guillaume Carlin

G.C.

Alors que les téléspectateurs vont retrouver Morgane Alvaro dans la saison 4 de HPI, ce jeudi soir sur TF1, Audrey Fleurot est allée à la rencontre de lecteurs et lectrices du Parisien pour évoquer la fin programmée de la série et sa future carrière de productrice.

L’actrice a crevé le petit écran avec son rôle de flic surdouée et de mère en galère, mais « à partir du moment où on lui a trouvé un boulot stable, une famille qui roule bon an mal an, une maison, j’ai peur qu’on ronronne », explique-t-elle. D’où la décision d’arrêter la série après une cinquième saison en forme de « bouquet final, à la hauteur du personnage ».

Elle dit avoir envie de jouer une méchante

Pour la suite, elle dit avoir envie de jouer une méchante, « les meilleurs rôles », selon elle. Elle évoque aussi les évolutions du monde du cinéma : « Il y a de plus en plus de femmes qui décident, des productrices, des réalisatrices. On s’est aperçu que la moitié des téléspectateurs étaient des téléspectatrices, que les femmes n’étaient pas périmées à 30 ans et qu’elles avaient encore plein d’histoires à raconter. »

Elle qui dit ne pas avoir peur de « jouer des grands-mères », va pourtant passer de l’autre côté de la caméra. « En septembre 2025, je vais démarrer le tournage d’une série pour TF1 : La Comtesse de Monte-Cristo. » Bien qu’elle ait d’abord pensé à un « cadeau empoisonné », elle a fini par « trouver une porte d’entrée différente, un éclairage différent » afin de « féminiser le personnage le plus adapté au cinéma ».

Un personnage qui a séduit le public sous les traits de Pierre Niney, en cumulant plus de 8 millions d’entrées cet été.