Carole Bouquet n’a pas été une maman comme les autres. L’actrice s’est récemment confiée sur l’éducation de ses deux fils qu’elle a entourés de « beaucoup de monde » et de « fêtes costumées » dès leur plus jeune âge. De passage dans l’émission « En Aparté » aux côtés d’Amira Casar, avec qui elle partage la vedette dans la série d’Apple +, La Maison, Carole Bouquet a évoqué hier l’ambiance très festive qui régnait chez elle.

« Je les ai élevés avec beaucoup de monde. Ma maison était ouverte en permanence », s’est-elle remémoré. « On pouvait débarquer à quarante chez moi et tous les jours effectivement débarquait énormément de monde et on n’arrêtait pas de faire des fêtes costumées, où moi-même je me déguisais d’ailleurs, sur le même thème que les enfants. » L’actrice s’est même appliquée à fabriquer les costumes des autres jeunes participants à ses joyeuses fêtes pour éviter les produits des magasins qu’elle trouvait « moches ».

La fête à la maison

Carole Bouquet est la mère de Dimitri Rassam, né en 1981 de sa relation avec le défunt producteur Jean-Pierre Rassam, et de Louis Giacobetti, fruit en 1987 de son idylle avec le photographe et cinéaste Francis Giacobetti. Dans l’émission de Canal +, l’actrice a aussi évoqué le moment où, en regardant des photos de ses enfants jeunes, elle s’était interrogée sur sa perception de l’éducation de ces derniers, qu’elle imaginait « complètement normale et classique ». « Quand je regarde les photos d’eux petits, je n’arrête pas de les voir déguisés, je me dis "non mais"… », a-t-elle soufflé avec humour.

L’occasion pour elle de revenir aussi sur un échange surprenant qu’elle a eu avec ses fils au sujet de sa sexualité après une interview pour Paris Match en 2021. L’actrice, qui se décrivait comme « strictement hétérosexuelle », avait alors affirmé qu’elle regrettait de n’avoir jamais pu « aimer les femmes ». Des propos qui n’ont pas échappé à ses fils, comme elle l’a rappelé à Nathalie Levy : « Ils l’ont entendu et m’ont dit : "Mais qu’est-ce que tu as raconté ?" Et à ce moment-là, je leur ai dit : "Mais c’est vrai ! Je trouve ça dommage". »