Muriel Robin et Anne Le Nen « bouleversées » par leur visite dans les montagnes rwandaises
DÉCOUVERTE•Les deux femmes sont allées à la rencontre des grands singes dans un sanctuaire veillant à leur survie20 Minutes avec agences
Muriel Robin et Anne Le Nen se sont offert un voyage « bouleversant » au cœur du vivant. L’humoriste et l’actrice ont dévoilé hier sur Instagram des images de leur séjour dans un sanctuaire pour gorilles, le Ellen Degeneres Campus of the Dian Fossey Gorilla Fund, au Rwanda.
On y voit les deux femmes, qui se sont mariées en 2021, observer de très près ces singes géants dans leur habitat naturel. Touché par cette expérience d’une « intensité folle », le couple a rédigé un long message témoignant de sa gratitude dans la légende du post. « Nous rentrons bouleversées après quelques jours passés au cœur des montagnes rwandaises », ont-elles affirmé.
« Ce voyage a été un véritable cataclysme, à la fois humain, historique et spirituel. Nous avons été ébranlées par la beauté des âmes que nous y avons rencontrées. Le peuple rwandais, avec sa résilience inébranlable et son accueil d’une chaleur désarmante, nous a touchées de façon indélébile. Leur courage et leur dignité forcent le respect et l’admiration. »
Un « héritage vivant »
Les deux stars ont aussi rendu hommage à Dian Fossey, primatologue américaine et spécialiste des gorilles de l’Est, dont le sanctuaire porte le nom. « Il est impossible de parler de ces moments sans rendre hommage à Dian Fossey, dont le dévouement inlassable et la passion ardente ont permis de protéger ces créatures extraordinaires », ont-elles reconnu au sujet de la chercheuse, assassinée en 1985.
« Son héritage est vivant. Elle a pavé la voie pour une prise de conscience mondiale qui continue de nous interpeller et de nous émouvoir. » Une mention est aussi accordée à la présentatrice américaine Ellen Degeneres qui, avec sa femme, a financé ce campus.
Muriel Robin et Anne Le Nen se disent désormais « transformées » par ce voyage, qui leur a offert de « nouvelles perspectives » sur la « richesse » du monde qui « ne se mesure ni en or, ni en pierres précieuses, mais en vies partagées, en regards croisés, en âmes touchées. »