Cyril Hanouna enfile les clashs comme des perles. Et la dernière à son collier de règlements de compte a été déposée par Aya Nakamura sur X dimanche.

La chanteuse est apparemment pressentie pour participer à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, une décision qui aurait été initiée par Emmanuel Macron. Et alors que sa présence n’a toujours pas été confirmée, tout le monde s’emballe. Cyril Hanouna présentant une émission qui se doit de surfer sur l’actualité, ou en tout cas sur ce qui buzze, a choisi de donner la parole en direct à l’un de ses détracteurs dans Face à Hanouna, sur C8 samedi.

Désaccord en plateau

Verlaine Djeni, un internaute qui s’est présenté comme « consultant en formation », avait poussé un coup de gueule il y a quelques jours sur les réseaux sociaux à la suite de cette rumeur voulant qu’Aya Nakamura chante du Édith Piaf en ouverture des JO. Il s’en était surtout pris à la gauche qui taxe de « racistes » les opposants à la performance de l’artiste.

Gilles Verdez n’a pas manqué de montrer son désaccord en plateau : « Je trouve regrettable ce que vous faites, avec ce que vous faites, vous cassez complètement la lutte contre le racisme. Tous ceux qui sont contre le fait qu’Aya Nakamura chante, ce sont des racistes, vous le savez très bien. Vous affaiblissez ça au nom de votre couleur de peau, et pour ça, je vous en veux vraiment beaucoup. »

Clash sur les réseaux

Cyril Hanouna a alors carrément complètement lâché son chroniqueur, estimant que « c’est catastrophique de dire ça », pour se ranger du côté de Verlaine Djeni.

Mais la principale intéressée leur a directement signifié que « y a pas moyen Djadja » sur X.

« Tu te prends pour qui à ramener un renoie pour me représenter ? ! Allez désabonnez toi sayez (sic) », a-t-elle dénoncé dès le lendemain.

Ce à quoi Cyril Hanouna s’est empressé de répondre : « Hello Aya mais que passa tu crois que t’as entendu des bails atroces sur toi ? Personne t’a représentée ! Verlaine est juste un gars qui donnait son avis, face aux chroniqueurs ! Ne crée pas des problèmes là où il n’y en a pas ! ».

Autant dire que la flamme olympique brûle même où on ne l’attend pas.