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Les frères d’Anouchka Delon réagissent à son intervention sur France Inter

Alain-Fabien et Anthony Delon réagissent aux propos d’Anouchka sur France Inter

Guerre fratricideChez les Delon, chacun souhaite visiblement avoir le dernier mot en public
Alain-Fabien et Anthony Delon réagissent aux propos de leur sœur Anouchka sur France Inter
20 Minutes avec agences

20 Minutes avec agences

Quand Anouchka Delon vient intervenir sur France Inter pour dire que l’histoire de leur famille prend trop de place dans les médias, et que justement, elle n’a rien à faire là, on se dit qu’on n’est pas sorti des ronces. Interrogée par Léa Salamé, la fille d’Alain Delon a en effet évoqué sa honte face à ce déballage « indécent ».

« C’est un enfer, on ne peut pas utiliser d’autre mot parce que c’est violent, absurde, abject et très agressif. Je suis là aujourd’hui parce que je n’ai même pas envie de polémiquer avec eux, parce qu’on est en train de polémiquer par média interposé, c’est ridicule. Quand on voit ce qui se passe dans le monde, nous, nos problèmes, c’est vraiment infime. C’est presque honteux de venir parler de ça », a-t-elle lancé, ajoutant que même la descendance de Johnny Hallyday se serait déchirée avec plus de retenue.

Pire que la famille Hallyday

Chez les Delon, chacun souhaite visiblement avoir le dernier mot en public. Et cette situation un peu paradoxale de la part d’Anouchka Delon qui s’adresse donc à ses frères par média interposé, a forcément été attrapée au vol par les deux frangins. Anthony et Alain-Fabien Delon lui ont servi leur réponse sans tarder.

Le premier a relayé en story Instagram un article titré « Alain Delon aimerait qu’on le laisse crever en paix » avec photo de sa sœur et de son père. « Alors pourquoi ton interview dans ELLE (qui a déclenché cette perquisition), pourquoi France Inter ce matin, pourquoi relancer la polémique. Il y a moins de dix jours, la mandataire nous a demandé devant le médecin de mettre de l’eau dans notre vin, de faire un effort pour notre père qui ressentait tout. WTF », écrit-il.

Son frère Alain-Fabien Delon lui a emboîté le pas avec une simple illustration de chameaux dans le désert avançant sous le regard d’un chien et légendée : « Les chiens aboient, la caravane passe. »

Pas sûr que les dernières volontés du patriarche soient entendues.