Kev Adams fait polémique sur les réseaux sociaux après s’être exprimé sur l’affaire Gérard Depardieu, ce mardi. L’humoriste de 32 ans a répondu à quelques questions sur le sujet lors de l’avant-première de son nouveau film, Maison de retraite 2, rapporte Télé 7 jours.

Gérard Depardieu a été mis en examen pour viols et agressions sexuelles. À la suite de la diffusion de l’épisode de Complément d’enquête le concernant, les langues ont commencé à se délier et beaucoup ont dénoncé le comportement de l’acteur de 75 ans. Une procédure disciplinaire concernant sa légion d’honneur est également en cours.

« J’ai adoré travailler avec lui »

Interrogé sur le sujet, Kev Adams a expliqué qu’il avait beaucoup aimé tourner avec Gérard Depardieu. « Je pense que c’est certainement le plus grand acteur français. Sans aucun doute, d’ailleurs. Moi, j’ai adoré travailler avec lui, j’ai appris beaucoup », a-t-il déclaré. Il a également précisé qu’il n’avait jamais assisté à des comportements déplacés de la part de l’acteur sur le plateau de Maison de retraite.

Par la suite, l’humoriste a évoqué les images diffusées par Complément d’enquête. « Il a été offensant, agressif. S’il a été irrespectueux de quelconques manières que ce soit, avec qui que ce soit, évidemment qu’il doit être puni pour ça », confie-t-il.

Une polémique sur les réseaux sociaux

Le trentenaire a ensuite salué le talent de Gérard Depardieu et lui a souhaité le meilleur. « J’espère que tout ira pour le mieux pour lui et si ce n’est pas le cas, c’est que la justice en aura décidé autrement parce que ce sera certainement justifié et mérité », a-t-il conclu.

La vidéo de l’humoriste a été postée par un utilisateur de TikTok présent lors de l’avant-première et a provoqué de vives réactions dans les commentaires, mais également sur X (ex-Twitter). De nombreux internautes accusent Kev Adams de défendre Gérard Depardieu. « On continue sur l’absolue indécence, toujours aucun mot pour les victimes et on fait l’éloge du géant Depardieu pour ne surtout pas froisser son image », s’est par exemple insurgée une utilisatrice de X.