Bradley Cooper a lui aussi connu l’enfer de l’addiction. A la fin de sa vingtaine, l’acteur masquait le « manque d’estime » qu’il avait de lui-même dans la cocaïne et l’alcool. « J’ai coupé mon talon d’Achille après avoir été viré/quitté [la série] Alias », a-t-il expliqué dans le podcast Smartless, présenté par Jason Bateman, Will Arnett et Sean Hayes.

La star s’estime chanceuse « d’avoir vécu ça à 29 ans », avant de devenir célèbre grâce à Very Bad Trip sept ans plus tard. « Emménager à Los Angeles pour Alias, c’était comme retourner au lycée : je ne pouvais entrer dans aucune boîte de nuit, aucune fille ne me regardait. J’étais complètement dépressif. (…) A 36 ans, j’ai fait Very Bad Trip, donc j’ai vécu toutes ces choses avant que la célébrité n’entre dans mon existence au quotidien », a-t-il ajouté.

La métamorphose

Après avoir admis qu’il était « accro à la cocaïne » et « complètement perdu » au début de sa trentaine, Bradley Cooper a entamé les changements nécessaires pour reprendre sa vie en main. Et il a remercié Will Arnett pour être « la raison » de cette prise de conscience survenue en juillet 2004.

Depuis, Bradley Cooper est sobre et a même aidé Brad Pitt à se défaire de ses addictions. L’acteur de One Upon a Time… in Hollywood l’en avait d’ailleurs remercié en recevant un prix pour son rôle dans le film de Quentin Tarantino en 2020.