Coronavirus à New-York : Mary-Kate Olsen accuse Olivier Sarkozy de vouloir la mettre à la porte en pleine pandémie
DIVORCE•Le couple se sépare après huit ans de relation et cinq ans de mariage20 Minutes avec agences
Mary-Kate Olsen a déposé une requête de demande de divorce en urgence. C’est ce qu’annonce Page Six, qui cite les documents officiels. Les tribunaux de la Grosse Pomme, où vit le couple, sont à l’arrêt à cause de la pandémie de coronavirus, et refusent les demandes de divorce classiques. Seulement, comme l’explique l’ancienne actrice devenue styliste, le frère de Nicolas Sarkozy tente de la mettre à la porte de chez eux.
Une situation jugée catastrophique par la jeune femme car elle ne peut retrouver où se loger pendant le confinement instauré à New York. « Mon mari a mis fin au bail de notre appartement à New York, sans mon consentement. Cette demande est une urgence, car mon mari espère que je parte de chez nous le lundi 18 mai, alors que New York est en pause à cause du covid-19. Je suis terrifiée à l’idée que mon mari me prive du foyer dans lequel nous vivions, et, s’il réussit, je perdrai non seulement mon chez-moi, mais aussi mes affaires personnelles », a écrit Mary-Kate Olsen au juge, comme le relaye la publication.
Ça tourne au vinaigre
Mary-Kate Olsen ajoute avoir demandé à Olivier Sarkozy et à son avocat de pouvoir rester dans leur logement jusqu’au 30 mai, afin de lui donner plus de temps. La requête de l’ancienne star de La Fête à la maison est restée sans réponse de leur part.
De son côté, Olivier Sarkozy, par le biais de son avocat, avait précédemment fait savoir à son épouse qu’il n’était « pas dans une position où (il) peut continuer à payer un loyer additionnel ni étendre » le bail. Le banquier a aussi écrit s’être « rendu à l’appartement new-yorkais » et « constaté qu’un certain nombre de biens personnels » avaient disparu. « Si Olivier n’a aucun problème à laisser Mary-Kate prendre ce dont elle a envie/besoin, il aimerait une liste de ce qui a été déménagé afin de garder une trace de qui a quoi en vue de la division des biens », ajoute Me Adam Turbowitz, qui représente Olivier Sarkozy.