COVID-19Kevin Spacey se compare aux victimes économiques du coronavirus

Coronavirus : Kevin Spacey compare sa situation à celle des victimes économiques du Covid-19

COVID-19L'acteur estime que les « difficultés émotionnelles » sont similaires
L'acteur Kevin Spacey
L'acteur Kevin Spacey - Chris DELMAS / VISUAL Press Agency
20 Minutes avec agences

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Depuis qu’il est persona non grata à Hollywood après avoir été accusé d’agression sexuelle en 2017, Kevin Spacey se fait essentiellement remarquer pour ses vidéos, postées à Noël, dans lesquelles il reprend son personnage de House of Cards, Frank Underwood, pour apporter ses vœux à ses fans. L’acteur semble décidé à ne jamais être là où on l’attend. Cette fois-ci, il s’est exprimé dans le cadre d’une conférence virtuelle (baptisée Bits & Pretzels), pour comparer sa situation à celle de centaines de milliers d'Américains qui se sont retrouvés au chômage du jour au lendemain en raison de la crise sanitaire liée au coronavirus.

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« Je comprends ce que ça fait de voir son monde s’arrêter soudainement. Je ne pense pas que ça surprenne qui que ce soit d’apprendre que mon monde s’est arrêté à l’automne 2017. Mon travail, mes relations, et ma position dans mon industrie se sont arrêtés en quelques heures. Et même si on se retrouve dans des situations similaires pour des raisons différentes, je pense que les difficultés émotionnelles sont les mêmes. Et j’ai beaucoup d’empathie pour ceux à qui l’on dit qu’ils ne peuvent pas retourner au travail, ou ceux qui risquent de perdre leur travail, parce que c’est une situation sur laquelle on n’a aucun contrôle », explique-t-il.

Inflexible

En octobre 2017, l’acteur Anthony Rapp a révélé que Kevin Spacey lui avait fait des avances sexuelles agressives alors qu’il n’avait que 14 ans, lors d’une fête en 1986. Dans la foulée, une trentaine de témoignages avaient confirmé le comportement déplacé, voire les agressions sexuelles ou les viols qu’il aurait commis, certains remontants à 1996. L’acteur de Usual Suspects a toujours nié ces accusations, se plaçant comme une victime du mouvement #MeToo.

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Cette nouvelle vidéo est sa première intervention publique dans laquelle il n’ironise pas sur la situation en utilisant son personnage culte pour se défendre.