«J’ai fait tout ça pour survivre. » C’est en ces termes que Cardi B a justifié certaines de ses décisions de jeunesse pour le moins discutables. « Je n’ai jamais dit que j’étais parfaite ni que je viens d’un monde parfait, avec un passé parfait. Je dis toujours la vérité et je ne trouve jamais d’excuses pour mes conn**ies », explique la rappeuse sur Instagram, ajoutant que, contrairement à certains de ses homologues masculins, elle n’a jamais voulu « glorifier » ce qu’elle a été obligée de faire et n’en a donc jamais parlé dans sa musique.

La fiction rejoint la réalité

Cardi B réagissait à la réapparition d’une vidéo, enregistrée en live sur Instagram il y a plusieurs années, dans laquelle elle reconnaissait avoir drogué des hommes qui voulaient coucher avec elle pour voler leur argent, lorsqu’elle était strip-teaseuse.

Cet enregistrement, ressorti par certains internautes alors que la rappeuse vient d’annoncer qu’elle compte écrire son autobiographie, avait choqué sur les internautes à tel point que le hashtag #SurvivingCardiB (en référence au documentaire Surviving R. Kelly, sur les abus sexuels présumés du chanteur de R & B) était devenu viral.

Hasard du calendrier ou stratégie de marketing brillante, cette polémique intervient moins d’une semaine après l’annonce du premier rôle au cinéma pour l’artiste. Dans Hustlers, aux côtés de Jennifer Lopez, elle jouera une strip-teaseuse, qui arnaque ses clients pour les détrousser. Ça ne s’invente pas…