PUBDes Etats Généraux de la Communication, pour une « société plus vertueuse »

Les Etats Généraux de la Communication réfléchissent à une « société plus vertueuse »

PUBLa première édition de cet événement est ouverte au grand public et sera animée par Marie Drucker
Les premiers Etats Généraux de la Communication se tiennent en ligne le 27 novembre 2020
Les premiers Etats Généraux de la Communication se tiennent en ligne le 27 novembre 2020 - Etats Généraux de la Communication
Benjamin Chapon

B.Ch.

La toute première édition des Etats Généraux de la Communication se tient ce vendredi, de 10h30 à 12h30. De quoi s’agit-il ? L’événement a été imaginé par des acteurs de la communication tels que l’Union des marques, l’Association des Agences-Conseils en Communication et l’Union des Entreprises Conseil en Achat Média.

Cet événement a priori très corporate, est en réalité ouvert à toutes et tous (il suffit de s'inscire). Marques, annonceurs et médias seront invités à réfléchir au thème enthousiasmant de cette première édition : « Pour une consommation plus responsable et une société plus vertueuse. »

Marie Drucker sur un plateau

Tournée sur le plateau de l’émission de France 5 C à vous, l’émission durera deux heures, de 10h30 à 12h30, sera animée par Marie Drucker, qui n’est plus présentatrice depuis quelques années, mais ne ménagera pas ses efforts pour rendre les échanges fructueux (et vertueux donc).

Les initiateurs de ces Etats Généraux espèrent créer ainsi un temps de dialogue et de concertation entre acteurs, d’ordinaire concurrents, mais aussi avec des experts et représentants de la société civile. Mercedes Erra, présidente de la Filière Communication, qui pilote l’événement, explique que « la volonté des Etats Généraux de la communication est d’être inclusif et de s’inscrire dans une démarche combinant les réflexions économiques, sociétales et de citoyenneté avec l’ambition de répondre à la question : quelle contribution positive l’industrie de la communication doit-elle apporter à la transition qui s’opère dans nos modes de consommation ? »