« Fourth wing » de Rebecca Yarros feuilleté en 2 minutes
FANTASY•« Fourth wing » de Rebecca Yarros est paru en février 2024 chez Hugo New Romancerowenabookine membre de la communauté 20 Minutes Books.
L'essentiel
- Les lectures coups de cœur, ça se partage.
- Notre communauté vous recommande chaque jour un nouveau livre.
- Aujourd’hui, « Fourth wing » de Rebecca Yarros paru le 7 février 2024 aux Éditions Hugo New Romance.
Anne-Lise « Rowenabookine », bookstagrameuse et contributrice du groupe de lecture 20 Minutes Books, vous recommande « Fourth wing » de Rebecca Yarros, paru le 7 février 2024 aux Éditions Hugo New Romance.
Sa citation préférée :
« Un dragon sans son cavalier est une tragédie. Un cavalier sans leur dragon est mort. »
Pourquoi ce livre ?
- Parce que le personnage de Violet n’est pas comme toutes les héroïnes et d’ailleurs, elle ne voulait absolument pas être une héroïne. Violet est différente des autres, une maladie la rend plus faible, ses os se cassent facilement, ces ligaments se déchirent facilement et la moitié de ses cheveux sont argentés à cause de cette maladie. Tout est plus compliqué pour elle dans cette école, elle n’est pas bâtie pour le combat, encore moins pour être choisi par un dragon et encore moins réussir à le monter à cause de sa petite taille.
- Parce que l’école est vraiment très bien construite, que ce soit dans les grades, l’évolution des responsabilités d’une année à l’autre. On assiste au cours avec Violet, des cours tous plus intéressants les uns que les autres, entre stratégie, histoire et combat, il y en a pour tous les goûts.
- Parce qu’il y a évidemment les dragons, c’est ce qui m’avait convaincue de lire ce livre dès l’annonce. Ce sont des créatures fascinantes et, ici, l’auteure les a sacrément bien exploités. Il y a une véritable connexion entre le dragon et son cavalier. Ils peuvent communiquer entre eux et leurs pouvoirs sont intimement liés. Dans cette histoire, les dragons sont liés aux humains, mais seulement s’ils le souhaitent, ce sont eux qui décident, ce sont leurs lois qui comptent, pas celles des humains.
- Parce que l’univers de l’histoire est incroyablement bien construit. Tout est fait pour qu’on en comprenne tous les éléments, le travail est vraiment poussé, tout est cohérent et paraît vraiment réel. L’autrice explique extrêmement bien le contexte, qu’il soit historique, avec les guerres, les conflits et les trahisons, ou géographique. Elle explique le fonctionnement de l’école, puis, après, des escouades en place pour la défense du royaume. J’aime quand il y a énormément d’éléments explicatifs, notamment dans les livres de ce genre et ici, je n’ai pas été perdue une seule seconde.
- Parce que l’autrice aborde des sujets assez durs et réels dans son livre. Elle y parle maladie et surtout handicap invisible, évidemment de différences, de harcèlement, de relations familiales, de culpabilité, de deuil et encore bien d’autres sujets forts.
L’essentiel en 2 minutes
L’intrigue. Violet a toujours étudié pour devenir scribe, mais sa mère la générale, en a décidé autrement. Malgré sa maladie qui la fragilise, elle doit rentrer dans le quadrant le plus dangereux de l’école, celle des dragonnières. Elle doit survivre à toutes les épreuves de sa première année.
Les personnages. Violet, fille de la Générale, comment sa première année en tant qu’élève dans le quadrant des cavaliers, le plus dur de l’école. Elle devra montrer sa force, se dépasser pour survivre. Xadent Riorson, marqué comme étant le fils d’un ennemi ayant participé à la rébellion, élève en 3e année.
Les lieux. Un monde fantastique : la Navarre (une carte est disponible au début du livre).
L’époque. L’époque est liée à l’univers et bien décrite dans l’histoire.
L’auteur. Elle a conquis un fidèle lectorat grâce à ses romances New Adult toujours impeccablement orchestrées et délicieusement intenses. Elle a écrit plus de vingt romans, notamment la trilogie Les Renegades dont Wilder (2016) est le premier tome.
Ce livre a été lu avec beaucoup d’émotions. L’histoire est remplie d’actions, l’adrénaline est maintenue du début à la fin, il n’y a pas de temps mort, j’ai eu peur pour l’héroïne à de nombreuses reprises. J’ai souffert avec elle, été en colère comme elle. Les émotions font partie intégrante de l’histoire.
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