« Flowers » : Miley Cyrus va devoir passer par la case justice pour « plagiat »
serious ?•La pop star américaine est poursuivie en justice pour avoir « copié » une partie de « When I Was Your Man », le tube de Bruno Mars, dans « Flowers »J.V. avec AFP
«Flowers » fanées ? Le tube de Miley Cyrus Flowers est dans le collimateur de la société Tempo Music Investments. Cette entité a déposé plainte, lundi, contre la chanteuse américaine, soupçonnée d’avoir plagié When I Was Your Man, le tube planétaire de Bruno Mars, indique Entertainment Weekly.
Vers une interdiction de « Flowers » ?
« Il est indéniable, au vu de la combinaison et du nombre de similarités entre les deux enregistrements, que "Flowers" n’existerait pas sans "When I Was Your Man" », peut-on lire dans la plainte déposée.
Miley Cyrus, les coauteurs de Flowers, Sony Music et Apple sont donc poursuivis en justice. Tempo Music Investments, qui détient les droits du catalogue de Philip Lawrence, coauteur de When I Was Your Man, réclame des dommages et intérêts, l’arrêt de la distribution du tube de Miley Cyrus, dont les paroles font allusion à sa rupture avec son ex, Liam Hemsworth, et l’interdiction pour elle de l’interpréter. Un coup dur pour la chanteuse de 32 ans.
« Flowers », un succès planétaire
On a tous eu dans nos playlists la chanson Flowers, le titre principal du huitième album studio de Miley Cyrus, Endless Summer Vacation. Le tube est resté pendant huit semaines en tête du classement Billboard des meilleures chansons l’année dernière.
Il lui valut un Grammy Award en 2023 - celui de l’enregistrement de l’année - et une nomination dans la catégorie chanson de l’année. Salué par la critique, Endless Summer Vacation a été nommé parmi les prétendants au titre d’album de l’année, la catégorie reine des Grammy Awards.
La chanteuse y incorpore des tonalités country et rock à son empreinte pop dance habituelle. Un clin d’œil à son enfance près de Nashville dans le Tennessee et à l’héritage laissé par son paternel, le chanteur de country Billy Ray Cyrus. Mais ça, c’était le temps de fleurs, comme le chantait Dalida… Désormais, la parole est à la justice.