RADIOVIDEO. Charline Vanhoenacker se paye Frédéric Beigbeder sur France Inter

VIDEO. Charline Vanhoenacker se paye Frédéric Beigbeder sur France Inter

RADIOCharline Vanhoenacker a imaginé avoir retrouvé la chronique que Frédéric Beigbeder avait égarée en discothèque jeudi dernier…
Laure Beaudonnet

L.Be.

Décidément, personne n’a loupé la chronique de Frédéric Beigbeder, jeudi dernier. Charline Vanhoenacker s’est payé ce lundi le romancier sur France Inter. Après une prestation ratée, la même radio avait annoncé vendredi l’arrêt de la chronique hebdomadaire de l’écrivain qui avait lui-même convenu « de sa faiblesse ».

« C’est vrai que ce n’était pas terrible et je me suis dit qu’il valait mieux qu’on arrête », a-t-il admis au Parisien, tout en précisant ne pas quitter France Inter. Ce plantage a inspiré Charline Vanhoenacker qui se met dans la peau de Frédéric Beigbeder, annonçant avoir retrouvé la fameuse chronique super-brillante qu’il avait égarée dans une boîte de nuit.

Enfin, un premier Get27

« Je suis sortie en boîte samedi soir dans un endroit appelé Le Medellin et j’ai retrouvé la chronique que Beigbeder avait perdue pour jeudi matin, commence l’humoriste. Je vous lis le texte. Page 3. "Les gilets jaunes sont là tels des petits grains de maïs prêts à exploser comme du pop-corn". Vous voyez que c’était brillant ! », lance-t-elle, provoquant l’hilarité dans le studio. « Il faut aussi comprendre que… "Tatiana 06.64.43.25.65". Non, ça, il a dû rajouter par-dessus ».

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Et de poursuivre avec une blague sur sa consommation d’alcool. « Bon, c’était sans doute un premier jet. Enfin, un premier Get27. C’est donc sur ces mots que l’œuvre matinale de Frédéric Beigbeder demeure inachevée. Bon bah, là, il nous reste une minute jusqu’à 8 heures. Qu’est-ce qu’on fait ? ». Dans cette chronique qu’il assurait depuis la rentrée 2016, l’écrivain se présentait souvent comme un jet-setteur en retour de soirée à l’image des excès décrits dans ses ouvrages.