Alors qu’elle était venue promouvoir son dernier spectacle sur le plateau de l’émission C l’hebdo, la suite, ce samedi 20 janvier 2024, la comédienne Clémentine Célarié en est venue à faire des confidences très personnelles : elle a en effet révélé qu’enfant, elle avait été victime de caresses déplacées… de la part d’une bonne sœur !

L’actrice de 66 ans explique ne s’être souvenue des faits qu’en travaillant le texte de « Je suis la maman d’un bourreau » (actuellement joué au théâtre de La Pépinière, à Paris), une pièce qui aborde le thème de la pédocriminalité dans l’église.

« On n’identifie pas tout quand on est petit »

Évoquant ce contexte, Clémentine Célarié a ensuite confié à une Aurélie Casse stupéfaite qu’à 12 ans, alors qu’elle étudiait à la pension des Ursulines de Saint-Germain-en-Laye, elle avait été « approchée par une bonne sœur ». « Elle a tenté de vous agresser ? », lui a aussitôt demandé l’animatrice. « Non, a-t-elle répondu. Elle ne m’a rien fait mais elle me caressait un peu les cuisses, de temps en temps ».

« Je me suis dit "oh là, là, merde, Il y a parfois des trucs inconscients" », a ajouté Clémentine Célarié, avant de déclarer, retrouvant sa bonhomie habituelle : « Je ne dirai pas qui c’est… De toute façon elle doit être morte aujourd’hui ».

Aurélie Casse s’indignant de la gravité des « attouchements d’une bonne sœur », l’actrice a acquiescé : « Bien sûr que c’est grave, et je trouvais ça bizarre. Le problème, c’est qu’on n’identifie pas tout quand on est petit ».

De retour sur les planches depuis le 18 janvier, Clémentine Célarié s’était rappelée au bon souvenir du public en signant la tribune de soutien à Gérard Depardieu, visé par trois plaintes pour agression sexuelle ou viol, avant de s’en désolidariser quelques jours plus tard.