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La musique de «Liz et l’oiseau bleu» suscite l'enchantement

«Liz et l'oiseau bleu»: Quand la musique suscite une amitié et un réel enchantement

ANIMATIONLa musique est un personnage à part entière de « Liz et l’oiseau bleu » de Naoko Yamada, au cinéma le 17 avril
Caroline Vié

Caroline Vié

L'essentiel

  • «Liz et l’oiseau bleu » évoque l’amitié de deux lycéennes musiciennes.
  • C’est en répétant un morceau que leur amitié se développe.
  • La bande-son du film a été conçue avant son tournage.

Une fois de temps en temps, un film vous éblouit par sa beauté. C’est le cas pour Liz et l’oiseau bleu de Naoko Yamada. Cette histoire d’amitié entre deux lycéennes unies par la musique confirme que la réalisatrice de Silent Voice est une grande cinéaste.

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Après avoir évoqué la surdité et le harcèlement scolaire dans son précédent film, la cinéaste japonaise offre un nouveau conte, très remarqué au Festival d’Annecy dont la bande-son envoûte autant que les images. Les deux héroïnes musiciennes voient leur relation évoluer tandis qu’elles répètent un morceau librement inspiré d’une pièce de Maurice Maeterlinck.

La musique en amont

Si ce long-métrage est inspiré de Sound! Euphonium , une série très populaire au Japon, il peut être vu indépendamment. Le spectateur n’a qu’à se laisser aller pour être emporté dans cet univers tout en délicatesse. « L’une des héroïnes joue de la flûte pour exprimer son amour de la musique, explique la réalisatrice à 20 Minutes. C’est ce qui attire sa camarade, être solitaire, qui sort de son propre monde grâce à elle. » Naoko Yamada a collaboré avec le compositeur Kensuke Ushio bien avant le tournage pour que ses partitions soient partie intégrante de l’histoire.

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La musique comme personnage

La pièce que jouent les héroïnes constitue une réussite éblouissante. Composée par Akito Matsuda, elle se révèle un personnage à part entière d’un récit où rêve et réalité s’entremêlent. « C’est un morceau que l’on n’entend qu’une seule fois, précise Naoko Yamada. Je voulais donc qu’il soit intense pour que les spectateurs le retiennent. » Il n’est pas la seule chose que l’on garde en mémoire après avoir dégusté ce poème plongeant délicatement dans la psyché de deux adolescentes.

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