FEUILLE DE SOINSVIDEO. L'ode à la vie de «L'ordre des médecins»

VIDEO. Jérémie Rénier: «"L'ordre des médecins" défend la vie et la lutte pour la préserver»

FEUILLE DE SOINSJérémie Rénier et Marthe Keller parlent de l’hôpital tel qu’ils l’ont découvert pour « L’ordre des médecins » au cinéma le 23 janvier…
Caroline Vié

Caroline Vié

L'essentiel

  • Dans « L’ordre des médecins », Jérémie Rénier incarne un pneumologue dévoué.
  • Marthe Keller joue sa mère hospitalisée dans un autre service.
  • Tous deux ont beaucoup appris en tournant ce film.

Les médecins de cinéma ont la cote tant sur le grand écran (Première année de Thomas Lilti) que sur le petit (la série Hippocrate). Il serait beau de voir L'ordre des médecins, premier film de David Roux, confirmer la tendance tant cette œuvre redonne foi dans l’ensemble du corps médical.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

« Ce film m’a permis de mieux comprendre à quel point les médecins sont dévoués », confie Jérémie Rénier à 20 Minutes. Le comédien joue un pneumologue déchiré entre ses patients et sa mère ( Marthe Keller, toute en finesse) qui est hospitalisée dans un autre service. Tous deux ont beaucoup appris du monde de l’hôpital pendant le tournage de cette œuvre galvanisante, ode à la vie inspirée par le frère et la maman du cinéaste.

Du côté des toubibs

« J’ai été étonné de voir qu’il peut y avoir des moments calmes dans un hôpital, raconte Jérémie Rénier qui a suivi une formation in situ avant d’interpréter son rôle. Les professionnels de santé ne courent pas partout : ils sont concentrés, souvent silencieux comme pour se protéger. » Le comédien a appris les gestes professionnels de son personnage avec de véritables pneumologues. « Ces médecins peuvent donner une impression de froideur, voire de dureté, ce qui est le cas de celui que j’incarne, dit-il. C’est sans doute pour ne pas laisser l’émotion les submerger. »

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Du côté des patients

Marthe Keller a, quant à elle, passé le plus clair du tournage dans un lit. « A 73 ans, j’avais l’impression de faire des repérages en jouant une femme en fin de vie », ironise-t-elle. La mère qu’elle joue accepte sa fin, provoquant à la fois le chagrin et la fureur de son fils. « Comme beaucoup de médecins, il a l’impression qu’une malade résignée méprise sa profession, précise l’actrice. Ce sentiment d’impuissance est d’autant plus fort qu’il s’agit de sa mère. » Ce qu’elle retient du film ? « J’en suis sortie apaisée », reconnait-elle.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Du côté du spectateur

Il ne serait pas étonnant que le spectateur ressente la même impression de paix après la projection. « L’ordre des médecins défend la vie et la façon de la préserver », insiste Jérémie Rénier. Le combat des malades et des soignants fait l’effet d’une piqûre énergisante. L’émotion qui affleure sans pathos donne envie de prescrire ce film à tous les amoureux de belles histoires humaines bien contées.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies