FANTASTIQUE«En eaux troubles» donne envie de dévorer des films de requins

VIDEO. Avant d'aller voir «En eaux troubles», plongez dans cette sélection de films de requins

FANTASTIQUE« 20 Minutes » a choisi ses films de requins favoris après avoir vu « En eaux troubles », où un mégalodon dévore des humains…
Caroline Vié

Caroline Vié

L'essentiel

  • «En eaux troubles » confronte Jason Statham et Bingbing Li a un requin préhistorique.
  • Cette série B réjouissante donne envie de revoir des films avec de gros poissons.
  • La liste ci-dessous signale nos favoris.

Le titre original d’En eaux troubles (en salles le 22 août) de Jon Turteltaub annonce la couleur : The Meg, c’est le petit nom d’un mégalodon, gentille bestiole préhistorique dont les dents font la taille d’un humain adulte. En bref, un beau bébé qui gobe tout ce qui passe à sa portée dans cette série B réjouissante.

La bestiole remonte des abysses avec un solide appétit qu’elle compte satisfaire en croquant notamment Jason Statham et Bingbing Li. Les requins sont une valeur sûre au ciné. Mais cette délicieuse bestiole met la barre très haut avec ses vingt-trois mètres de long. The Meg prend dignement la suite de poissons stars qui ont mordu dans le box-office à grands coups de mâchoires. 20 Minutes revient sur les plus beaux spécimens.

Le requin star

Bruce, le squale des Dents de la mer (1975) de Steven Spielberg, est le plus connu. Il a même droit à son thème musical créé par John Williams (« Dum Dum Dum Dum »). Il est tellement apprécié qu’il a connu quatre aventures cinématographiques.

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Le requin végétarien

Le Bruce du Monde de Nemo (Andrew Stanton, 2003) n’a que le prénom en commun avec celui des Dents de la mer auquel il rend hommage. Sa particularité ? Il essaye de ne plus manger que des plantes et ce n’est pas gagné !

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Le requin tornade

Il n’y a pas un gramme de rigueur scientifique dans la saga Sharknado mais c’est pour ça qu’on l’aime. Les gros poissons tombent du ciel et dans ces six téléfilms totalement délirants qui font rire le public à belles dents depuis 2013.

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Le requin patient

Le public peut comprendre l’animal qui désire transformer Blake Lively en plat du jour dans Instinct de survie (Jaume Collet-Serra, 2016). La belle, coincée sur un rocher est sacrément appétissante et il n’a qu’à attendre qu’elle lui tombe dans la bouche.

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Le requin conserve

Les squales de 47 meters down (2017) de Johannes Roberts n’ont qu’une cage à détruire pour déguster Mandy Moore et Claire Holt. Comme ils n’ont pas d’ouvre-boîtes, cela leur prend un moment.

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Le requin modifié

On ne joue pas impunément avec la nature. C’est ce que découvrent les protagonistes de Peur bleue (Renny Harlin, 1999) quand ils se font mordre les fesses et plus car affinités par un requin résultat d’expériences scientifiques.

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Le vrai requin

S’il y en a un qui s’arrache les cheveux en voyant les films cités ci-dessus, c’est Rob Stewart ! Cet amoureux des requins tente de convaincre qu’ils sont super-gentils dans Les seigneurs de la mer (2006), documentaire où il torpille leur image de mangeurs d’hommes (et de femmes, y a pas de raison).

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