A trois journées de la fin du championnat de Ligue 1, le TFC compte toujours deux points d’avance sur la zone de relégation. Mais, après son lourd revers dimanche à Monaco (4-1), il a perdu deux places au classement et a creusé encore un peu plus une différence de buts désormais abyssale (-20 désormais).

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Et si le seizième de L1 a parfois développé un jeu léché, Dominique Arribagé ne veut retenir que le résultat, sévère. «Quand on a perdu 4-1, on ne peut se satisfaire de rien, assène l’entraîneur toulousain. La prestation n'a pas de valeur. Ce qui compte, c'est que Monaco a gagné et qu'on en a pris quatre. Bravo au réalisme princier monégasque. Monaco joue comme ça depuis le début de la saison et n'est pas troisième du championnat pour rien.»

« sur cet angle vous allez faire un avc pic.twitter.com/xDzLRpebFb — philippe (@philousports) May 3, 2015 »

Après avoir égalisé logiquement par Braithwaite dès la 26e minute, Toulouse a pourtant longtemps fait douter l’ASM. Avant cette «faute» ( ?) de Trejo dans sa surface de réparation sur l’attaquant monégasque Martial, qui transformera le penalty juste avant la pause (2-1) et brisera l’élan des Violets.

« Me tarde de voir les marseillais hurler au complot pour le péno de Monaco. #ASMTFC — Claude Pèze (@claudepeze) May 3, 2015 »

«La première mi-temps a été plutôt réussie mais c’est le penalty qui change le match, confirme Arribagé. On a été obligé d'attaquer. D'ailleurs, il faudra le revoir, ce penalty. Si cela se passe dans l'autre surface, je ne suis pas sûr qu'il soit sifflé.»

Polémique ou pas, le TFC a encore son destin en mains avant deux réceptions (Lille et Nice) entrecoupées d’un déplacement à Guingamp. Samedi au Stadium face au Losc, Toulouse devra composer sans son défenseur central Kana-Biyik, expulsé à Monaco et suspendu pour un match, au minimum.