POLÉMIQUECatherine Millet se fait reprendre de volée par Marlène Schiappa

VIDEO. Catherine Millet dit des âneries dans «Quotidien» et se fait reprendre de volée par Marlène Schiappa

POLÉMIQUEL’auteure et cosignataire d’une tribune dans « Le Monde » a expliqué qu’elle avait de la compassion pour les frotteurs dans le métro…
Benjamin Chapon

Benjamin Chapon

Catherine Millet n’écrit pas que des bêtises, elle en dit aussi à la télé. Oh, ça va, on plaisante… Vous aurez saisi la référence à Pierre Desproges, celui qui ne pourrait « plus rien dire aujourd’hui » selon les cosignataires d’une tribune dans Le Monde. L’auteure qui a signé le texte paru ce mardi a précisé sa position jeudi soir dans Quotidien sur TMC. Elle a notamment expliqué que, selon elle, « le mouvement "balance ton porc" n’a pas fait avancer les choses ».

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« Ça a été une vague de dénonciation publique, c’est ce qui m’a personnellement très choqué, un tribunal public, pas comme ce qui a été mis en place par la loi. Ça a touché des gens dans mon entourage… » Catherine va plus loin en donnant sa définition du harcèlement sexuel à propos duquel, selon elle, « les féministes de 2018 exagèrent. »

Compassion pour les frotteurs

Face à Yann Barthes, Catherine Millet a expliqué quand une femme était légitime à porter plainte : « Si c’est quelqu’un qui vous réveille toutes les nuits, oui, vous pouvez déposer plainte, ça oui, c’est du harcèlement, on peut en avoir marre. Mais le type qui a un mot grossier quand on le croise dans la rue, qui essaie de vous peloter, les frotteurs du métro, ce n’est pas du harcèlement. »

L’auteure a aussi confessé avoir « une certaine compassion pour ces hommes-là, ils doivent avoir une misère sexuelle, quelqu’un qui est réduit à ça pour avoir une excitation sexuelle, ce n’est pas marrant. »

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Marlène Schiappa a répliqué sur Twitter, rappelant à Catherine Millet que se frotter à une femme sans son consentement n’était, effectivement, pas du harcèlement mais une agression sexuelle…

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