193 participations, 809.392 euros de gain et des cadeaux d’une valeur de 200.000 euros : Christian Quesada, candidat star de l’émission Les 12 coups de midi sur TF1, fait visiblement des envieux.

Victime d’insultes sur Facebook

Dans une interview accordée au Parisien, l’homme s’est livré sur cette médiatisation soudaine qui a bouleversé sa vie.

Depuis sa participation au jeu, lui et sa famille ont été l’objet de nombreuses insultes et de commentaires désagréables sur Facebook.

« On a même dit que mes enfants n’étaient pas les miens, mais des figurants payés par TF1 et que mes parents n’étaient pas décédés ». Certains lui ont même demandé de l’argent.

« Ça ne m’a pas vraiment touché, mais ça peut être terrible pour des personnes plus fragiles », explique l’homme de 53 ans.

Lutter contre le cyberharcèlement

Face à cette avalanche de remarques, le père de famille a désormais un souhait : faire des études de droit pour lutter contre le cyberharcèlement.

En projet également, une autobiographie prévue pour l’automne 2017 écrite en collaboration avec un auteur de Thierry Ardisson.

Des offres d’emploi

Son passage à la télé a en tout cas transformé Christian Quesada en véritable people. Il s’est vu proposer de nombreuses offres d’emploi après son élimination.

Il a entre autres travaillé avec Télé-Loisirs sur l’élaboration d’un quiz de culture générale pour un hors-série sur les dessous des jeux télévisés. Il a également participé à Vendredi tout est permis d’Arthur et même à Fort Boyard sur France 2.

D’autres propositions lui ont été faites comme un rôle dans une web-série ou encore une participation dans Danse avec les Stars, « un super projet qui (lui) tient à cœur ».

Nouveaux amis et nouvelle vie

Qui dit star, dit aussi nouveaux amis. Parmi eux, on retrouve des acteurs mais aussi des Miss comme Camille Cerf, Miss France 2015, avec laquelle il correspond par SMS.

La coquette somme d’argent qu’il a gagnée lui a enfin permis de s’offrir une maison et un voyage au Japon et d’ouvrir un compte à ses deux enfants de 5 et 7 ans pour leurs études.

Au RSA il y a un an, celui qui est surnommé « le professeur » par Jean-Luc Reichmann envisage désormais l’avenir sereinement.