TELEVISION«TV Lab»: France 4 veut inventer «la télé de demain»

«TV Lab»: France 4 veut inventer «la télé de demain»

TELEVISIONFrance 4 diffuse ce soir trois des huit pilotes d'émissions de son concours TV LAB, lancé en novembre dernier et présidé par Bruno Solo. Seul un pilote donnera lieu à une émission, diffusée à la rentrée prochaine sur la chaîne, et c'est à vous de voter sur Dailymotion...
Annabelle Laurent

Annabelle Laurent

Un magazine de découverte où deux «backpackers» sont guidés par les choix des téléspectateurs, un road-movie culturel incarné par «Bob», un chroniqueur culturel caustique mi-réel, mi-fictif, et un magazine d’investigation à la Anonymous pour «vous désintoxiquer» des théories toutes faites: voilà les trois pilotes d’émissions qui ouvriront le bal du TV LAB, ce jeudi à 22h45 sur France 4. Les cinq autres seront diffusés les 20 et 27 juin.

Convaincre, pour survivre

Lancé en novembre dernier, le concours de France 4 a largement séduit: près de 200 auteurs et boîtes de prod ont tenté leur chance en soumettant un concept d’émission. Magazine de découverte, de voyage, talk-show, télé-réalité, émission culturelle, programme musical, road-movie: toutes les propositions ont été étudiées.

De ces 200 projets, il n’en reste aujourd’hui plus que huit, ceux qui ont su, en janvier dernier, pendant leurs «grands oraux» (lien) se mettre dans la poche le jury, présidé par Bruno Solo. Leur récompense: 30.000 euros, et 100 jours pour fabriquer leurs pilotes de 26 minutes.


Convaincre, pour survivre

Lancé en novembre dernier, le concours de France 4 a largement séduit: près de 200 auteurs et boîtes de prod ont tenté leur chance en soumettant un concept d’émission. Magazine de découverte, de voyage, talk-show, télé-réalité, émission culturelle, programme musical, road-movie: toutes les propositions ont été étudiées.

De ces 200 projets, il n’en reste aujourd’hui plus que huit, ceux qui ont su, en janvier dernier, pendant leurs «grands oraux» (lien) se mettre dans la poche le jury, présidé par Bruno Solo. Leur récompense: 30.000 euros, et 100 jours pour fabriquer leurs pilotes de 26 minutes.


Convaincre, pour survivre

Lancé en novembre dernier, le concours de France 4 a largement séduit: près de 200 auteurs et boîtes de prod ont tenté leur chance en soumettant un concept d’émission. Magazine de découverte, de voyage, talk-show, télé-réalité, émission culturelle, programme musical, road-movie: toutes les propositions ont été étudiées.

De ces 200 projets, il n’en reste aujourd’hui plus que huit, ceux qui ont su, en janvier dernier, pendant leurs «grands oraux» (lien) se mettre dans la poche le jury, présidé par Bruno Solo. Leur récompense: 30.000 euros, et 100 jours pour fabriquer leurs pilotes de 26 minutes.

il n’en reste aujourd’hui plus que huit

Convaincre, pour survivre

Lancé en novembre dernier, le concours de France 4 a largement séduit: près de 200 auteurs et boîtes de prod ont tenté leur chance en soumettant un concept d’émission. Magazine de découverte, de voyage, talk-show, télé-réalité, émission culturelle, programme musical, road-movie: toutes les propositions ont été étudiées.

De ces 200 projets, il n’en reste aujourd’hui plus que huit, ceux qui ont su, en janvier dernier, pendant leurs «grands oraux» (lien) se mettre dans la poche le jury, présidé par Bruno Solo. Leur récompense: 30.000 euros, et 100 jours pour fabriquer leurs pilotes de 26 minutes.

Pour survivre, l’objectif est désormais de convaincre les téléspectateurs. Depuis début juin, ceux-ci élisent en effet sur Dailymotion leur émission préférée. Le 4 juillet, celle qui aura recueilli le plus de votes sera déclarée gagnante, et aura, à la rentrée, sa place sur France 4.

>> Pour découvrir les huit lauréats, c'est par ici. Et pour voter pour votre émission préférée, c'est par là.

«Si on veut plaire au plus grand nombre, alors le monde devient Endemol»

Il faut plaire à «un public moins inactif, désireux de réinventer quelque chose», explique Nathalie Notebaert, directrice de l’unité de Recherche et Développement des programmes de France Télévisions.

«On a hésité entre une bonne trentaine de projets. Ça prouve bien le vivier d’auteurs qui existe en France!», se réjouit Bruno Solo. «Il faut absolument inventer des formats», insiste l’acteur, réalisateur et producteur indépendant, qui regrette une «frilosité des chaînes, qui achètent paresseusement des formats étrangers, et des boîtes de prod qui proposent des choses existant déjà».

Le conseil qu’il a «beaucoup répété» aux jeunes auteurs: «N’essayez pas de fédérer! Si on commence à vouloir plaire au plus grand nombre, alors le monde devient Endemol».


«Si on veut plaire au plus grand nombre, alors le monde devient Endemol»

Il faut plaire à «un public moins inactif, désireux de réinventer quelque chose», explique Nathalie Notebaert, directrice de l’unité de Recherche et Développement des programmes de France Télévisions.

«On a hésité entre une bonne trentaine de projets. Ça prouve bien le vivier d’auteurs qui existe en France!», se réjouit Bruno Solo. «Il faut absolument inventer des formats», insiste l’acteur, réalisateur et producteur indépendant, qui regrette une «frilosité des chaînes, qui achètent paresseusement des formats étrangers, et des boîtes de prod qui proposent des choses existant déjà».

Le conseil qu’il a «beaucoup répété» aux jeunes auteurs: «N’essayez pas de fédérer! Si on commence à vouloir plaire au plus grand nombre, alors le monde devient Endemol».


«Si on veut plaire au plus grand nombre, alors le monde devient Endemol»

Il faut plaire à «un public moins inactif, désireux de réinventer quelque chose», explique Nathalie Notebaert, directrice de l’unité de Recherche et Développement des programmes de France Télévisions.

«On a hésité entre une bonne trentaine de projets. Ça prouve bien le vivier d’auteurs qui existe en France!», se réjouit Bruno Solo. «Il faut absolument inventer des formats», insiste l’acteur, réalisateur et producteur indépendant, qui regrette une «frilosité des chaînes, qui achètent paresseusement des formats étrangers, et des boîtes de prod qui proposent des choses existant déjà».

Le conseil qu’il a «beaucoup répété» aux jeunes auteurs: «N’essayez pas de fédérer! Si on commence à vouloir plaire au plus grand nombre, alors le monde devient Endemol».


«Si on veut plaire au plus grand nombre, alors le monde devient Endemol»

Il faut plaire à «un public moins inactif, désireux de réinventer quelque chose», explique Nathalie Notebaert, directrice de l’unité de Recherche et Développement des programmes de France Télévisions.

«On a hésité entre une bonne trentaine de projets. Ça prouve bien le vivier d’auteurs qui existe en France!», se réjouit Bruno Solo. «Il faut absolument inventer des formats», insiste l’acteur, réalisateur et producteur indépendant, qui regrette une «frilosité des chaînes, qui achètent paresseusement des formats étrangers, et des boîtes de prod qui proposent des choses existant déjà».

Le conseil qu’il a «beaucoup répété» aux jeunes auteurs: «N’essayez pas de fédérer! Si on commence à vouloir plaire au plus grand nombre, alors le monde devient Endemol».