Roland-Garros 2013: Jo-Wilfried Tsonga «n'a pas été trop inquiété»
TENNIS – Le Français s'est qualifié pour les huitièmes de finale de Roland-Garros vendredi et n'a toujours pas perdu un set…
Romain Baheux
Au suivant. Expéditif depuis son entrée en lice porte d’Auteuil, Jo-Wilfried Tsonga n’a pas traîné pour se qualifier pour les huitièmes de finale vendredi contre Jérémy Chardy (6-1, 6-2, 7-5). Sans le moindre set égaré en route pour l’instant, Tsonga a déroulé pendant cette première semaine. Et vu du court, ça ne lui a pas semblé trop compliqué non plus. «Je n’ai pas été trop inquiété sur l’ensemble du match, confirme-t-il. Il n’a pas vraiment eu sa chance sur les jeux de retour, c’est un match qui a été bien contrôlé même s’il a été un peu mieux dans le troisième set.»
«Un bon coup à jouer»
Alourdie par l’humidité, la terre battue de Roland-Garros permet au N° 1 français d’envoyer ses coups de massue anesthésiants dans une partie de tableau qui s’ouvre sous ses pieds. Le prochain à s’y frotter sera Viktor Troicki, dernier obstacle avant un éventuel quart de finale contre Roger Federer annoncé depuis le début de la quinzaine. Et malgré les pincettes de circonstances, difficile d’ériger le cinquante-septième joueur mondial en redoutable gladiateur de l’ocre.
«Il y a un bon coup à jouer, ça pourrait être un joueur avec plus de références sur terre battue, consent Tsonga. Le quart contre Federer, on peut toujours y penser mais pour l’instant, je n’y suis pas.» Martelé depuis le début du tournoi, l’argument pourrait vite devenir obsolète.
Au suivant. Expéditif depuis son entrée en lice porte d’Auteuil, Jo-Wilfried Tsonga n’a pas traîné pour se qualifier pour les huitièmes de finale vendredi contre Jérémy Chardy (6-1, 6-2, 7-5). Sans le moindre set égaré en route pour l’instant, Tsonga a déroulé pendant cette première semaine. Et vu du court, ça ne lui a pas semblé trop compliqué non plus. «Je n’ai pas été trop inquiété sur l’ensemble du match, confirme-t-il. Il n’a pas vraiment eu sa chance sur les jeux de retour, c’est un match qui a été bien contrôlé même s’il a été un peu mieux dans le troisième set.»
«Un bon coup à jouer»
Alourdie par l’humidité, la terre battue de Roland-Garros permet au N° 1 français d’envoyer ses coups de massue anesthésiants dans une partie de tableau qui s’ouvre sous ses pieds. Le prochain à s’y frotter sera Viktor Troicki, dernier obstacle avant un éventuel quart de finale contre Roger Federer annoncé depuis le début de la quinzaine. Et malgré les pincettes de circonstances, difficile d’ériger le cinquante-septième joueur mondial en redoutable gladiateur de l’ocre.
«Il y a un bon coup à jouer, ça pourrait être un joueur avec plus de références sur terre battue, consent Tsonga. Le quart contre Federer, on peut toujours y penser mais pour l’instant, je n’y suis pas.» Martelé depuis le début du tournoi, l’argument pourrait vite devenir obsolète.
«Un bon coup à jouer»
Alourdie par l’humidité, la terre battue de Roland-Garros permet au N° 1 français d’envoyer ses coups de massue anesthésiants dans une partie de tableau qui s’ouvre sous ses pieds. Le prochain à s’y frotter sera Viktor Troicki, dernier obstacle avant un éventuel quart de finale contre Roger Federer annoncé depuis le début de la quinzaine. Et malgré les pincettes de circonstances, difficile d’ériger le cinquante-septième joueur mondial en redoutable gladiateur de l’ocre.
Alourdie par l’humidité, la terre battue de Roland-Garros permet au N° 1 français d’envoyer ses coups de massue anesthésiants dans une partie de tableau qui s’ouvre sous ses pieds. Le prochain à s’y frotter sera Viktor Troicki, dernier obstacle avant un éventuel quart de finale contre Roger Federer annoncé depuis le début de la quinzaine. Et malgré les pincettes de circonstances, difficile d’ériger le cinquante-septième joueur mondial en redoutable gladiateur de l’ocre.
«Il y a un bon coup à jouer, ça pourrait être un joueur avec plus de références sur terre battue, consent Tsonga. Le quart contre Federer, on peut toujours y penser mais pour l’instant, je n’y suis pas.» Martelé depuis le début du tournoi, l’argument pourrait vite devenir obsolète.
