RUGBYVI Nations: Les quatre trucs qu'on ne veut plus du tout voir en Irlande

VI Nations: Quatre trucs des Bleus qu'on ne veut plus du tout voir en Irlande (mais vraiment plus)

RUGBYLa France a battu l'Ecosse dimanche, mais on n'est pas très contents du contenu...
Romain Baheux

Romain Baheux

Si on a envie d’être optimiste, on peut se dire que la France est assurée de ne pas finir ce Tournoi avec zéro victoire. Si on regarde la réalité en face, les Bleus ont battu l’Ecosse (22-16) en jouant mal, en lâchant des points sur une boulette défensive et en faisant plein de fautes. On vous laisse choisir votre camp mais nous, on a listé quatre choses à bannir du déplacement en Irlande dans deux semaines.

La boulette de Scott Spedding

Là, on s’est dit que l’Ecosse pouvait nous taper au Stade de France. On joue le début de la seconde période, les Bleus mènent péniblement 13-11 quand soudain, Scott Spedding vient courir pour récupérer un ballon tapé au pied par un Britannique. Et là, c’est le drame comme le montre cette vidéo.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Pas besoin d’avoir vécu quatre ans en Nouvelle-Zélande pour comprendre que l’arrière de Clermont s’est bien troué sur l’affaire, offrant un essai casquette à nos adversaires. « Un mauvais rebond, peste-t-il en zone mixte. J’ai demandé à l’arbitre si je n’avais pas été poussé mais il a refusé de vérifier par vidéo. » Sans doute pour épargner une vision au ralenti de la scène à l’intéressé.

Les attaques manquées (de Rémi Lamerat)

Vous aviez aimé Rémi Lamerat oublie Noa Nakaitaci et mange un essai tout fait à Twickenham ? Vous allez adorer Rémi Lamerat ne parvient pas à aplatir la balle correctement dans l’en-but et empêche les Bleus de prendre le large dans un match très serré.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

« Ça va très vite, je n’ai pas le temps de me rendre compte si c’est bon ou non, plaide l’intéressé en zone mixte. A la fin du match, j’étais soulagé car je me suis dit qu’après une telle occasion, ça aurait été dommage de perdre. » On confirme.

Virimi Vakatawa

Quand vous saisissez votre téléphone pour twitter des excuses juste après un match, c’est vraiment que vous avez été nul. Et Virimi Vakatawa, remplacé par Guy Novès après 53 minutes de jeu, n’échappe pas à la règle.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Si l’ailier, salarié par la Fédération française de rugby, avait impressionné par ses crochets, sa technique et son impact, lors de ses débuts dans le Tournoi il y a un an, l’impression qu’il est aussi perdu en défense qu’un type bourré qui cherche ses clés en boîte devient très gênante. Au boulot Virimi.

Les pénalités offertes

Avec des si, on mettrait Paris et tout ce que vous voulez en bouteille. Mais quand même. Si les buteurs écossais n’avaient pas été aussi généreux, ratant sept points au pied, on ne serait peut-être pas en train de s’étendre sur le style du XV de France mais sur sa quatrième défaite de suite. Dont l’une des causes aurait été les dix penalités lâchées aux Britanniques.

Un trop grand nombre de fautes, surtout dans les rucks -le combat au sol si vous ne parlez pas ovalie- où les Bleus ont été dominés par les Ecossais. « On y a été pénalisés sept-huit fois, regrette le capitaine Guilhem Guirado. Ce secteur sera notre cible de travail avant le match contre l’Irlande. » Ca tombe bien, c’est justement l) où ils nous avaient mangé au Mondial il y a un an et demi.