FOOTBALLVIDEO. PSG: Zlatan Ibrahimovic nous offre une nouvelle interview spécial melon

VIDEO. PSG: Zlatan Ibrahimovic nous offre une nouvelle interview spécial melon

FOOTBALLL'attaquant du PSG ne changera jamais...
Antoine Maes

A.M.

Ah, Zlatan Ibrahimovic… Evidemment c’est un grand et bon joueur. Evidemment qu’il est beaucoup trop fort pour la Ligue 1 (comme tout le PSG du reste). Mais ce qui est certain, c’est que c’est aussi un gros, gros troll. A longueur d’interview, le Suédois matraque son énorme confiance en lui. Ce qui fait qu’il y a sans doute autant de gens qui l’aiment que de personnes qui ne peuvent pas le sentir.

Les réactions à l’interview qu’Ibra a donné à beIN Sport vendredi soir seront donc exactement les mêmes que d’habitude. Si vous avez la flemme de vous avalez les 5 minutes d’entretien, on vous fait un petit résumé de cet entretien réalisé dans le cadre de son titre de meilleur joueur du mois de novembre.

« En termes de confiance, je n’ai besoin de rien de plus, j’ai déjà suffisamment confiance en moi. Mais en fin de carrière, avoir une pièce pleine de trophées, c’est pas mal quand même ».

« Toutes les équipes où j’ai joué étaient dominantes, parce que j’y jouais. Mais c’est la première fois que je joue dans une équipe qui atteint aussi vite le haut niveau. Les supporters doivent être contents, qu’ils s’assoient et qu’ils profitent ».

« [INTERVIEW] Zlatan Ibrahimovic : "J’ai déjà écrit l’histoire du PSG" > https ://t.co/E7qSWrLo1q #PSGSCB pic.twitter.com/jm3GlcuOQ9 — beIN SPORTS (@beinsports_FR) 8 Janvier 2016 »

« A mon arrivée, j’avais dit que j’écrirai l’histoire ici. Aujourd’hui je peux dire que j’ai écrit l’histoire et qu’elle n’est pas finie ».

« Lors de ma première saison, certains joueurs n’étaient pas déçus après une défaite. Ils attendaient le match de la semaine suivante. Je ne trouvais pas ça normal. Perdre un match n’est pas acceptable pour moi. Quand je perds un match je deviens un monstre. L’état d’esprit a changé. Quand on perd, tout le monde devient un monstre ».

« Si les joueurs de Ligue 1 me connaissaient quand je suis arrivé, je pense qu’ils me connaissent encore plus maintenant. Ce qui est marrant, c’est que certains pensent déjà être des joueurs complets et accomplis. Jusqu’à ce qu’ils jouent contre nous. Et là ils savent vraiment où ils en sont. »

« Je suis quasiment sûr que les Français me supporteront encore plus que leur équipe nationale ».