«La pression est sur les Français. Pour l'Islande, il n'y a rien à perdre», prévient Thorvaldur Sveinsson. Des dizaines de milliers de personnes devant un écran géant pour assister au quart de finale de l'Euro-2016 contre la France, dimanche. «Les statistiques ne sont pas très bonnes pour nous. L'Islande n'a jamais battu la France, et la France a l'habitude de gagner quand elle organise un tournoi. Mais ce ne sont que des statistiques», assure Birgir Ludviksson. «On se sent encore mieux qu'avant [le huitième de finale contre] l'Angleterre. On est arrivé à ce stade où peu importe ce qui se passe lors de ce match, on sera heureux», explique encore Thorvaldur Sveinsson.

Cet Islandais a vu les quatre premiers matchs de son équipe en France, mais son employeur l'a prié de revenir. «J'aurais bien voulu prolonger mon séjour mais mon collègue m'a dit: il faut que tu rentres, ce n'est plus possible», s'amuse-t-il. La presse islandaise estime que l'équipe a toutes les chances de réaliser un nouvel exploit, pouvant toujours compter sur le même onze de départ en l'absence de blessures et de suspensions.

L'écran géant de Reykjavik, en bas d'un parc en centre-ville, qui diffusait dans l'après-midi des publicités, est l'une des curiosités pour les touristes, très nombreux à cette période de l'année. Un vendeur de rue a installé, sous le soleil, un étal d'écharpes, de bonnets et de drapeaux. Cinq Norvégiens, venus de Bergen, se sont habillés aux couleurs de l'Islande. «On aime bien l'équipe de France. Mais ce soir les Français soutiennent la France, et le reste du monde soutient l'Islande», affirme Alexander Elvik. «Tout le monde adore leur esprit d'équipe, leur héroïsme. L'Islande n'a pas de Griezmann, ils ont Traustason. Et ça pourrait suffire», dit-il.

«La pression est sur les Français. Pour l'Islande, il n'y a rien à perdre», prévient Thorvaldur Sveinsson. Des dizaines de milliers de personnes devant un écran géant pour assister au quart de finale de l'Euro-2016 contre la France, dimanche. «Les statistiques ne sont pas très bonnes pour nous. L'Islande n'a jamais battu la France, et la France a l'habitude de gagner quand elle organise un tournoi. Mais ce ne sont que des statistiques», assure Birgir Ludviksson. «On se sent encore mieux qu'avant [le huitième de finale contre] l'Angleterre. On est arrivé à ce stade où peu importe ce qui se passe lors de ce match, on sera heureux», explique encore Thorvaldur Sveinsson.

Cet Islandais a vu les quatre premiers matchs de son équipe en France, mais son employeur l'a prié de revenir. «J'aurais bien voulu prolonger mon séjour mais mon collègue m'a dit: il faut que tu rentres, ce n'est plus possible», s'amuse-t-il. La presse islandaise estime que l'équipe a toutes les chances de réaliser un nouvel exploit, pouvant toujours compter sur le même onze de départ en l'absence de blessures et de suspensions.

L'écran géant de Reykjavik, en bas d'un parc en centre-ville, qui diffusait dans l'après-midi des publicités, est l'une des curiosités pour les touristes, très nombreux à cette période de l'année. Un vendeur de rue a installé, sous le soleil, un étal d'écharpes, de bonnets et de drapeaux. Cinq Norvégiens, venus de Bergen, se sont habillés aux couleurs de l'Islande. «On aime bien l'équipe de France. Mais ce soir les Français soutiennent la France, et le reste du monde soutient l'Islande», affirme Alexander Elvik. «Tout le monde adore leur esprit d'équipe, leur héroïsme. L'Islande n'a pas de Griezmann, ils ont Traustason. Et ça pourrait suffire», dit-il.

Comment vous meublez l'attente vous? Promenade en forêt? Lecture? Terrasse? Sieste?

On vous live Wimbledon par ici...

Et le Tour de France par là...